Sondage, sondage quand tu nous tiens...

On se demandez avec ami producteur et programmateur de web radios quand ont lis les sondages qui sont publiais à tour de bras autour du thème des radios de quelles radios ses sociétés de sondage-là parlent-elles ?

Car en effet, outre les grandes radios nationales qui ont entre 50 et 70ans d'existence et les FM (près de 40ans) puis récemment les indépendantes (toujours en FM).
Donc oui, tous ses instituts de sondage-là analyses (en générale ils se base sur un panel de 1000 personnes prise au téléphone en moins de 5 minutes) et leurs posent les fameuses questions suivantes.
"Qui - quand - quoi - comment - pourquoi - ou - combien de temps", etc., etc.
Ainsi, les personnes sondées sont des individus comme vous et moi qui écoutons ce que j'appelle alors :
"LE" produit radio.

 

 

Cela sert à quoi ?
Pour certains à rien (j'avoue que des fois on pourrait se le demander) car nous savons depuis des années que les sondages ne sont plus impartial mais celons le demandeur orientes pour vanter un produit et/ou une politique etc.
Alors, depuis quelques années avec la naissance des web radios (leurs créations date de 1995) les instituts de sondages s'intéresse légèrement et très évasivement à ce phénomène en les englobant dans leurs sondages dont parfois les résultats sont assez rigolos (mais toutefois à méditer pour nous producteurs - programmateurs de web radios) car, un exemple parmi tant d'autres, voilà ce que nous pouvons lires :
"64% des Français écoutent la radio en faisant le ménage, 54% en cuisinant, 41% dans la salle de bain et 37% en faisant du sport. 57.4% des Français évoquent la musique comme première motivation d’écoute et près de 8 Français sur 10 (43 millions) écoute la radio chaque jour". 
Donc, là, nous avons presque toutes les infos de bases qui sont utiles à tout chef de prog et/ou directeur d'antenne (ça fait joli comme terme).
Mais un ami je le disait m'interpeller en me demandent ceci (ce qui n'est pas faux non plus) "Bah qu'est-ce qu'on fait des commerciaux, des routiers et autres professions qui passent des heures en auto." Que ce soit de nuit ou de jours pourrais-je ajouté, oui ?
Ceux-là de mon avis rentre pas dans la case rentabilités car ils écoutent le radio pour avoir du son dans leurs véhicules pour ne pas s'endormir n'avoir que le silence à entendre et/ou le bruit des autres véhicules qui les entourent.
Ceux qui paye les instituts de sondages sont là pour rentabiliser un et/ou des produits, savoir qu'elles créneaux peut être susceptible d'être le moins vendeurs et/ou le plus vendeurs.
Alors pour lui répondre on peut dire que "Toutes les études et mesures d’audience le démontrent, la voiture est le lieu privilégié de l’écoute de la radio. La belle histoire a démarré au milieu des années 20 et la vraie démocratisation se situe au milieu des années 60" (1).
Alors voilà qui relève de l'intérêt des analystes pour ce moyens d'écoute qui semble fort importent.


 
Le blogueur continue son analyse en écrivant ceci :
"La voiture, jusqu’à présent, pour le monde de la radio, était juste un habitable qui bénéficiait d’un accessoire à forte valeur ajoutée. Cet accessoire, d’ailleurs en général fabriqué par des fabricants spécialisés, utilisait juste un emplacement prédéterminé, un peu de câblage et une petite source d’énergie. Mais tout ceci ensuite échappait aux constructeurs qui n’avaient aucune prise sur le choix de ce qui serait écouté en roulant…" à t'il tort ou à t'il raison ?
Et il ouvre un terme déjà pas mal usité celui de "La voiture connectée".

 

 

Car, qui dit voiture connectée dit connexion et donc apparition d’au moins deux intermédiaires entre la radio et son auditeur/conducteur : d’abord le constructeur auto qui va proposer un système intégré dans son tableau de bord (exit donc le simple "autoradio") et ensuite le Fournisseur d’Accès à Internet qui va permettre de relier celui-ci au monde connecté". (2).
Ainsi mon ami n'est pas d'inquiétude dès que les web radios seront largement écoutable en voiture (via les fournisseurs d'accès internet qui s'emparerons de ce créneaux vide et plus que porteur pour demain) car nos vies seront de plus en plus connecter.
Car oui, déjà en se rasent nous pouvons voir la tv en fond de miroir, etc., alors écouter la radio s'en risque sous la douche ses pour bientôt.
Donc enfin comme d'une sorte de conclusion, je pourrais écrire que tous les sondeurs confondus tâteront le terrain par étapes comme en montent un escalier.
Et les sondages sur les web radios deviendras aussi banal qu'un sondage pour RTL ou France Inter…
 

Photographies : "Écoutez la radio en voiture et chez soi" trouver sur Google notre amis 2018©®…
(1 / 2) : Extrait de l'article écris par "Frédéric Courtine" pour le site web "mediameeting.fr".

 

 

 

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