Les moments de silence entres deux chansons sur les radios utile ou pas ?

J’en avais déjà parlé en quelques lignes sur ce même blog consacré aux "ONDES FMR" et aujourd’hui à "BERNAY-RADIO.FR", mais je souhaiter y revenir un peu pour tenter de clarifiais le concept et ma façon de voir les choses.
En effet, à l’heure ou dans les radios privées et locales (associative peu importe ici leurs catégories) FM et sur les radios web aussi, il est de bon ton aujourd’hui plus qu’hier de passer de la musique coûte que coûte s’en qu’il y ait un seul moment de silence entre deux titres.
Oui ses fameux titres doivent s’enchainer comme d’un fluide dégoulinant des postes FM (même les radios périphériques elles aussi sont assujetties à ce jeu-là).


Le son doit être linéaire, pur, couler de source comme je les dis un fluide qui s’écoule dans vos oreilles à tel point que parfois vous ne l’entendez même plus entend que flux musical, mais comme simple bruit de fond.
Musique de fond quand vous êtes en voiture, dans les ascenseurs, les restaurants, les commerçants, dans les rues de certaines villes (Bernay n’y échappe pas, rire).
Alors oui, il faut que les radios nivelle, linéarise le son, les chansons et que celle-ci s’enchaîne s’en que l’on sente le moindre blanc, fussent-ils infimes.
Et nous aussi sur Bernay-radio.fr sommes soumis à cette règle sine qua non bien évidemment, car ses une des règles indissociables des radios qui ont des flux musicaux importent.
Oui, ici sur Bernay-radio.fr nos émissions propres ne nous permettent pas plus de largesse que cela.
Ainsi, il arrive que de temps à autre surtout lors de programmation de musique dite classique et surtout contemporaine vous puissiez entendre des blancs entre deux titres.
Cela et fait exprès.
Pourquoi ?
Eh bien, c’est surtout laisser comme cela par respects des œuvres classiques et contemporaines.
J’estime que pour un titre dit de musique de variété, oui, je tolère de bons enchaînements qui sont la plus qualifiait pour fluidifiais une écoute sur le long terme que sur des thématiques spécifiques.
Comme nos confrères des radios privées et/ou associatives et/ou encore des radios périphériques, nous donnons des paroles deux titres du "Blablas" pour présenter les titres à venir.
Soit nous fessons du blabla (façon de parler bien sûr) ou nous diffusons alors 15 - 30 minutes de musiques non-stop (comme il se fait partout d’ailleurs)
Par contre, si nous fessons du direct, nous utilisons la même technique, mais avec beaucoup plus de paroles de "Blabla".
Sinon, les playlists, elles tournent sur elles-mêmes et dirais-je même se suffisent à elles-mêmes aussi.
Du moins, pour le moment ses un mode beaucoup plus pratique pour nous actuellement cela va de soi.
Après, dès que nous le pourrons et que nous aurons des animateurs de jour qui ferons les liens entre les titres entres des longs passages musicaux et des plus courts ses une évidence que les enchaînements seront le plus pro le plus irréprochable possible et nous avouons que cela est un projet vers lequel nous souhaitons aller assez rapidement d’ailleurs.
Mais, même si notre radio évolue doucement et trouve des personnes intéresser et aussi intéressantes (rire) pour étoffer notre équipe et faire de l’antenne en live nous garderons le concept des blancs pour respecter le travail des compositeurs des créneaux classiques et contemporains, voilà.
Après, je me souviens lorsque j’ai débuté aux "ONDES FMR" et que je mixé et/ou écouter dans le bureau l’émission de musique classique, je fessais des bonds sur ma chaise, car il y avait des blancs à l’antenne choses qui alors, sortent d’une idée éducation de radio musicale de variétés me choquât bien sûr.
Mais avec le temps on apprend bien sûr et celui qui n’accepte pas le changement reste alors si je puis dire un imbécile (rire) et l’on m’apprit alors "LA" différence que j’appliquerais très vitre.
Aussi, selon les artistes nous laissions - et nous laissons, autant que faire se peut le titre aller jusqu’à sa dernière note pour passer l’intégralité du titre (oui nous étions en cela alternatifs et aussi un peu rebelles, rire).
Car l’enchainement de titres musicaux en radio ses quoi l’idée de fond en fait ?
Et bien ses simplement de laisser fondre la fin du premier titre sur le début du second s’en que l’auditeur s’en aperçoive et/ou qu’il y est trop de différence de rythme et/ou de ton.


Si nous maîtrisons cela nous avons, semblent-ils tous compris (rire).
Après, il y a les puristes qui pensent, disent que si un blanc et entendu entre-deux titres cela n’est pas bien grave, car cela permet aussi à l’oreille de respirer.
Et puis aussi cela permet de restituer l’idée d’un vinyle - d’un CD qui comporte des blancs entre chaque morceau.
Donc, on le voit, lis ici, il y a donc plusieurs écoles.
1-  Celles des radios qui mouline, mouline et mouline encore des playlists interminables (réseaux format ceux que j’appelle "Music and new).
et,
2- Celles qui aiment entendre les derniers note - sons de l’artiste, instrumentistes et/ou chanteurs, etc. (je parle ici du genre radio France dans ce qu’ils offrent de plus professionnel dans le genre).
Après, ses à chacun d’entre nous et d’entre vous auditeurs - auditrices de faire vos choix…

Photographie : "Régie radio" trouver sure "Google" notre ami…

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