Les "Quotas" font débats au sein des radios en général (dernière partie)...

SUITE ET FIN DE MON ARTICLE SUR LES QUOTAS POUR LES RADIOS PRIVES...

Ainsi, "Fleur Pellerin" (actuelle ministre de la culture) demande par la même occasion de "Mieux mettre en valeur la jeune création française".Elle continue son propos en soulignant que "Sur un mois", cela reviendrais pour les radios à "Passer un ou deux titres supplémentaires".

Ont pourrais en effet se dire ou et le mal, mais le ministère a constaté que "74% de la programmation francophone est faite avec 10 titres sur "NRJ", 67% sur "Skyrock" ou encore 54% sur "Fun radio" (5).

Alors, nous savons aussi très bien, ne nous leurrons pas, que des radios tels celles cités plus haut ainsi que "RTL" - "Europe n°1" et consort sont des grosses machines bien huilées, verrouillés et que même si cela est inavoué, hélas, l'argent en deviens "Le" maître mot.Oui, diffuser pour vendre le single, l'album de tels ou tels artistes connues édité chez tels ou tels maisons de disques, puis diffusés aussi et (surtout) les compiles éditées par les radios en tant que propre producteur et/ou en collaboration avec les maisons de disque international.Ensuite il y à diffuser pour gagner des parts de marché dans le monde de la publicité.Car toutes ses radios la, dites privés, ne vivent que sur ses revenues là.Alors, après, il faut trouver ou est comment faire une place à un jeune talent ?Que veut dire aussi le concept jeune talent ?Car il y a bien des émissions TV qui mouline ceux-là tels que "Star académie - The Voice - incroyables talents", etc., dans lequel ses radios la vont parfois piocher car ils ont était parrainer par tels ou tels artistes reconnue pour son professionnalisme, ce qui quelques part ne veut rien dire.Rappelons-nous de la pauvre "Chimène Badis" recaler dans une émission TV, pop star (je crois) et que quelques mois plus tard sera signé chez une producteur.Bon, j'avoue aussi que parfois une graine de star peut être "Sortie" du jeu parce qu'un producteur la trouver bien et veut la produire avant les autres s'en se soucier ci celle-là et/ou celui-là fera ou pas une longue carrière.Sortir un single oui et si possible l'année suivante un album oui encore une fois puis en sortir un second seulement si le public et demandeur on continuera, sinon hop, hop, hop, "Au suivant" comme le chanter l'irremplaçable "Jacques Brel".Et ses-là ou entre en jeu les radios privés, toutes ses radios réseaux.Les maisons de disque envoie des cartons pleins de nouveautés d'artistes reconnues soit mais aussi d'artistes fessant moins le buzz donc s'en doute des "Jeunes talents".Et c'est la que viens certains appuies de labels - maisons de disques, oui ils markets leurs poulains auprès des programmateurs de ses grosses radios pour qu'eux ceux-là programme "LE " titre qui sera vendeur, qui sera s'en doute une bombe.Car pour information dans les radios privés il y a des comités d'écoutes qui sont payer pour écouter des disques à la pelle dont un grand nombre ne dépasserons jamais les bureaux d'écoute et parte soit à la poubelle ou en cadeaux au personnelle (rire).
Si le cd et/ou single n'a pas ce petit quelques choses qui fait tilt dans la tête du programmateur général il ne passera hélas jamais les barrières des radios locales et/ou web j'en suis convaincue.Alors le concept (maître mot) simple :"Crée une envie chez l'auditeur".Oui, crée en lui comme d'une habitude d'entendre "LE" titre voulue et qu'ils se disent en fait "Le titre et bien, donc je vais l'acheter" ils créent alors ce que j'appelle une écoute forcé, d'une certaine manière, car nous savons que nombre d'auditeurs sont vissé sur ses radios à leurs travails, dans les chambres d'ados, dans leurs voitures, presque tout la journée en fait.Donc, ses radios là diffusent entre 10 - 20 - 30 fois par jours "LE" titre promu par la maison de disque.Et voilà alors que "LE" titre miracle entre insidieusement dans les têtes, les esprits des auditeurs comme la pub entre dans nos crânes pour ceux qui ne vont pas faire la pause pipi lors de leurs diffusions.Et alors ses partie, nous chantonnons tous "lalalére" son avènement et ses gagner.Oui, ses gagner car nous allons acheter "LE" single version physique et/ou version numérique (virtuel) en MP3.Certains disent à coup de chiffres que la production d'artiste nouveau et en baisse quand d'autres disent que non.

Exemple le "S.N.E.P" (5) dit que "13 000 titres" sont enregistrés en langue française par an.

Contre argument, certains explique que ce serait à cause "D'un effondrement de la production française (-66% d’albums francophones entre 2003 et 2014)" (6) que le problème d'assumer ses fameux "Quotas" découlerais.

Ceux à quoi la ministre répond c'est : "La production mondiale qui s’est effondrée sous l’effet de la révolution numérique" (7).

Alors des chiffres dans ses cas-là on nous en sort à la pelle.Encore un chiffre (rire) : 1 200 titres sont proposés chaque année par les producteurs aux radios, je me dis alors, ou est le problème de quotas, de diffusions de titres francophone ?Nos radios locales et/ou web de catégorie "A" pour notre part non jamais reçue autant de titres que cela sinon nos rotations musicales et nos programmations s'en serait sentie plus aéré, plus fortifié et aurais aussi beaucoup plus sensibilisé nos auditoires à l'époque.Cela donc me fait un peu rire.Car si notre radio "Bernay-radio.fr" reçoit quoi, 20-30 cd dans l'année nous sommes aux anges alors, 1 200 titres là nous nous sentirions aux anges.Le souci et que tous dépend de comment nous définissons ce qu'est un jeune talent.Pour certains il faut, et j'ai souris, qu'un jeune talent n'est "Pas encore obtenu deux disques d’or, soit deux fois 50 000 albums vendus" (8).Alors que pour d'autres (comme nous) un jeune talent et un artistes (jeune ou non) qui essaie de faire carrière et se lance alors dans la production d'un premier album.Que celui-là est déjà fait quelques scènes et que, à l'écoute de son travail, nous, radios, estimions qu'il serait intéressant de le diffuser sur nos ondes (FM et/ou Web), vous voyais bien qu'ici ont et loin, bien loin du rapport à l'argent quand nous parlons de jeunes talents.Alors, nous radios locales associatives, FM et/ou Web, nous avons le droit d'avoir et de faire 20% de publicité purement locale.Nous avons donc aussi deux choix.1-    Être exsangues du fameux poids des 40% de quotas de chansons françaises à diffuser sur nos ondes.2-    Voir naître des lois qui nous pousserons à assumer ses quotas sous risque d'avoir des mises-en-demeures de faire.Le reste aurais-je envie d'écrire et une affaire de gros sous et d'intérêts entre producteurs de radios réseaux et de producteurs phonographiques qui, tous deux, ont peur d'y laisser des plumes avec l'arrivé en force des sites dit de streaming tels que "Deezer" - "Spotify".Ses fameux site qui ont acquis nous dit-ont "+ 66 % d’abonnements au premier semestre 2015" (8).Alors, que peut-ont dire en conclusion ?Est bien, nous pouvons dires - écrire que la radio n'est pas prête de mourir.

Quitte, tel et ma vision, à ce qu'elle se réorganise, se modifie en partie et/ou totalement pour être en phase avec les nouveaux auditoires qui seront les leurs dans les années à venir.Ou, soit elle restera telle qu'elle, campant sur ses positions ferme et définitive et la, hélas je crois, verra la petite mort de ce style de radio arrivé au bout de la route de ce métier.
Je crois aussi qu'elle devra juste s'adaptez vers les nouvelles technologies de pointe et trouver une parade pour aider les auditeurs à concilier écoute de la radio et écoute de streaming, car les deux devrons désormais se liée et non se faire des guerres qui n'arrangerons personnes et qui surtout lasserons les auditeurs qui se sentirons pris entre deux feux comme s'il devait choisir et s'il choisit qui en pâtira le plus ?Nous pouvons dires, souhaiter aussi que les artistes d'émotion et naissant aurons toujours des supports pour se faire entendre et vendre leurs travail discographique et que le consortium des métiers des disques vivrons toujours gravement.Nous pouvons dire en conclusion que ce genre de débat a déjà eu lieu il y a 20 - 30ans et que aucune réel solution ne sera trouver tant chacun ne démordras pas du fait de rogner son os sur ses sujets-là.Enfin, je souhaite que radios et producteur et artistes trouve un réel terrain d'entente pour faire ce que chacun ses faire de mieux chanter, produire et animé.

1- Projet de loi à votation à l’Assemblée nationale dans la nuit de mercredi 16 au jeudi 17 septembre.2- Riposte lancé le 24 septembre 2015.3- "Fleur Pellerin" ministre de la culture.4- D'après le site "Art six mic" dans leur article "Chansons françaises à la radio, le "OUI" de l’Assemblée, à plus de diversité" publiée le 1 octobre 2015 sous le nom de "Rédaction".5- "S.N.E.P" soit " Syndicat National de l'édition Phonographique".6- D'après le site "Art six mic" dans leur article "Chansons françaises à la radio, le "OUI" de l’Assemblée, à plus de diversité" publiée le 1 octobre 2015 sous le nom de "Rédaction".7- D'après le site "Art six mic" dans leur article "Chansons françaises à la radio, le "OUI" de l’Assemblée, à plus de diversité" publiée le 1 octobre 2015 sous le nom de "Rédaction".8- D'après l'article du journal "Libération" sous la plume de "Adrien Franque" daté du 16 septembre 2015.9- D'après des chiffres du "SNEP" en date du 1er semestre 2015.

Photographies : "Quotas chansons française sur les radios" trouver sur "Google"notre ami octobre 2015©®. 

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