Y à t-il de la place à Bernay pour deux radios ? (1er partie)...

Je me poser les questions suivantes :
1-    Deux organes de presse est-ce de trop pour Bernay une ville de 11 000 habitants ?
2-    Deux voire, trois, quatre Chausseurs - Lunetiers - Magasins de vêtements - d’Informatique - Deux pompes funèbres - 4 ou 5 boulangeries / pâtisseries, etc., etc., est-ce de trop pour une ville comme Bernay qui compte 11 000 habitants ?
Vous me répondrez en me renvoyant une question "Non ce n’est pas de trop pourquoi", ah, ah, ah.
J’y viens.


Je me dis que parmi tous ses commerces du même style une concurrence de prix et légale et importante pour la diversité de choix du client.
Deux organes de presses offrent une meilleure vision de la vie locale plutôt que d’en avoir qu’un seul.
Ainsi, je me dis aussi que deux radios locales Bernayenne devrait-elles se sentir en concurrence de celui qui va faire mieux, avoir le plus de ceci cela que l’autre ?
Nous n’avons pour le moment qu’une TV web sur Bernay, donc le pas de discussions réel de concurrence. Nous, depuis, 2014 une radio locale sur le web et un peu plus loin dans le temps une radio en FM émettent depuis Paris fessant des décrochages Bernayens.
N’y a-t-il pas de la place pour deux ?
Ses deux radios la, non pas, la même à la fois, la même structure, la même programmation musicale, la même vision de la radio.
Les deux médias s’impliquent à leurs manières pour faire vivre, animer et faire parler Bernay d’elle-même.
Je ne parle pas de cette autre radio (de Lisieux) qui concocte à "L’UCIAL" du programme musical entrecouper de pubs pour les commerçants de la ville.
J’avoue aussi que les deux autres lorgnent vers se secteurs la "LA pub" qui font partie du chaînon de leurs futures c’est-à-dire l’argent, trouver des revenues.
L’une n’a pas 1€ pour vivre, pas de locaux attitrés ou pouvoir s’installer concrètement ouvrir un studio définitif.
La municipalité, mais à dispositions de la 1re un bureau pour des permanences deux fois par mois tandis que l’autre à obtenue de la municipalité un endroit ou installer un studio radio dans un lieu patrimonial Bernayen.
L’autre perçoit des subventions, à des plans financiers avec des partenaires, etc.
L’une et une structure développez avec des moyens, l’autre et plus humble, car sur le web et s’en réel moyens financier (que les deniers des membres).
L’une jouis d’une notoriété locale, car présente physiquement tandis que l’autre n’a d’image, de présence locale que par les personnes qui effectuent pour elle des interviews sur le terrain.


Mais cette seconde radio n’a pas d’image réellement palpable, car pas de studio attitré et équipé, et surtout pas de fréquence FM, car pour les auditeurs de base lambda si ses pas en FM, ils ont du mal à faire la démarche d’aller sur internet pour écouter parler de leur ville, on voit là que la handicape et mis à la base.
Alors après, je me dis qu’une interviewe ses une interviewe.
Que mixée une émission ses un mixage une technique universelle, car non, il n’existe pas 50 sortes de manières de savoir faire parler les gens, de savoir les mettre à la laisse devant un micro.
Car je me dis que le fond d’activités, le fonds de commerce si je puis dire (non s’en humour) ne divergent pas d’une radio à l’autre si elle veut faire dans le local pur et dur.
Car la vie d’une ville offre et peu importe ici la ville et/ou le pays, à tous les médias qui y vivent les mêmes manifestations, activités, rendez-vous, qu’elles soient réalisées par le tissu associatif, qu’elles soient sociales et/ou de faits divers et/ou encore, liée au fait politique.
L’info et la tel qu’elle et ses à chacun des médias en présence de donner à lire, voir et entendre "SA" vision d’une même et unique information.
Ses comme en cuisine la recette des crêpes et unique générique ses à chacun des cuisiniers d’en donner des formes et goûts différents, pour les médias ses pareils.
Donc je me dis, qu’une radio dit-elle tuée, l’autre ?

Je dis que chacune devrait avoir les mêmes moyens et que la municipalité ne devrait pas faire de différence entre elles.

SUITE DE CETTE ARTICLE MARDI 1ER SEPTEMBRE 2015...

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