Mes vues d'esprits lorsque je quitte un média (radio - tv - presse) en fait ce que j'aimerais (mdr)...

J’aimerais faire une sorte de mise au point sur ma récente participation sur une radio web.

Oui, j’ai envie de faire un lien qui voudrait que les humains on envers leurs congénères des façons d’êtres des plus étonnantes (rire).

Les difficultés qu’ils croisent dans leurs vies quotidiennes et vraiment intéressantes à étudier pour un sociologue.

En effet, j’ai envie de dire que les rapports qu’entretiennent les humains entre eux sont comme les rapports amoureux.

Lors de la rencontre tous va bien on cherche à séduire l’autre, etc., etc.

Et puis quand les moments de séductions sont passés et que l’autre nous et acquis on passe alors à une parade d’amours ou l’ont dit à l’autre "Bienvenue dans la famille".
Dès lors, la communication passe, le plaisir et là, on partage, on se dit "Waouh" ses beaux tout cela.

Puis lorsque celles-ci se dégradent, nous entrons alors dans une période que j’appelle de "Désamours".

Ainsi, on voit tous les défauts des uns des autres, que nous ne voyons pas au départ, quoique, pour ma part, je me douter de la finalité de ma participation à long terme.

Hélas, trop bercer de choses identiques dans ma vie radiophonique (rire).

On vit dans les reproches, justifiés ou non.

On vit dans des moments conscients de dénigrements perceptibles.

Et là, alors, on s’en la fin d’une collaboration qui s’en vient.

Quand j’ai quitté la 1re radio web que j’avais co-crée ce genre de chose ne s’est pas passé comme cela.

L’ami créateur m’a dit "J’arrête" et voilà, on est resté amis on se voit, ont bois un verre ensemble, etc.

Pour la seconde radio, j’ai envie de dire que le rapport n’est pas le même du tout.

Là, je n’ai jamais connu, vues, eus ce sentiment d’être épiées, d’être surveillé comme si j’avais vraiment fauté et qu’on m’attendre au tournant comme l’ont dit (rire).

Comme si j'allez dénigrer, détruire l’image de la radio pour laquelle j’ai travaillé (même si bénévole) ou je ne sais quoi via l’équipe et le travail que je leurs est fournie gratuitement (comme chacun des animateurs d’ailleurs).

Pour ma part je pense savoir tourner la page même si elle me fait mal sur un laps de temps, au bout de quelques semaines je sais ouvrir grandes les fenêtres et faire un léger courant d’air pour chasser les déceptions de ma tête pour mieux voir ce que je peux devenir.

Après, dans la seconde radio pour laquelle j’ai œuvré (8 mois) je n’y avais signé aucun contrat qui m’engager, me lier, me contraignez en quoi que ce soit envers elle.

J’y suis entrée libre et en suis ressortie aussi librement.

Oui, j’y suis entrée par moi-même, en mon âme et conscience, j’ai fait ce que je penser juste, j’ai donné ma sincérité tel que je la vie tout au long de ma vie, j’ai dit mes avis, mes envies.

Celles-ci ont déplu, celles-ci ont était perçue comme maladroites envers les sensibilités d’autrui.



Je m’en suis excusé une seule et unique fois et puis voilà, je trouve qu’il aurait fallu dépasser cela, mais bon.

Alors après, pour voir si je ne dis pas de mal, si je ne dénigre pas l’équipe on regarde par le coin de la fenêtre ce que je dis, écris, fait (ce qui quelques parts me fait sourire), mais bon.

Je penser ici que une fois quitter un lieu, une équipe, ici une radio (ou tout autre média) oui, j’estime plutôt que de faire ce genre de choses que chacun devez voir sa propre route et oubliais l’autre.

L’amitié hélas et j’en et fais les frais, n’existe pas, plus.

Et au final je croyais avoir des amis, de vrais "Bons potes" et je vois encore une fois que non, je n’ai plus personnes, ce n’est pas grave.

Alors, ma vie dans une radio ou une autre et sera et restera toujours ce que je fais de la manière que je le fais (durant plus de 20ans) avec mes exigences, mon caractère de con (eh oui, rire) est je l’espère, professionnalisme, alors s’il vous plait, qu’on m’oublie, qu’on me lâche un peu les baskets.

Que dois-je à tous ceux-là de l’argent, non ?

Du matériel, non ?  

Donc, je leurs est, juste sur la base du bénévolat, du volontariat donner des heures d’émissions, des idées, des projets, qui ne purent aboutir pour simple cause d’incompatibilités d’humeurs, bah oui, cela arrive.

Alors mes derniers mots sur cette collaboration et simples :

Que tous suivions nos routes et qu’on m’oublie.

Oui, que l’on m’oublie comme si j’étais mort est enterré, ça me fera du bien et de vacances aussi malgré les déceptions que j’ai ressenties et qui mon blesser...





Photographie "Divers" trouvé sur "Google" notre ami…

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