Le rapport qu'ont certains endroits et créateurs d'évenements culturelles face aux radios emergentes sur le web me deçoit...
Je trouve que les personnes qui crées s’occupent de festival
non pas du tout le même regard sur les médias aujourd’hui qu’il y à, ne
serait-ce que 10ans de là.
En effet, je crois qu’il et hélas fini le temps ou média et festival cohabité en bonne amitié.
En effet, il était déjà assez dur pour des radios locales
comme les "ONDES FMR" par exemple de se faire reconnaitre média à
part entière face aux autres radios (national).
Et puis petit à petit aux fils des ans nous les petites radios,
si je puis dire, avons, donc aux fils du temps, en essuyant aussi les plâtres réussis
pour certaines à se faire reconnaitre comme radio réelle.
En effet, certains festivals nous ont fait confiance, nous
donnent alors des accréditations pour toute la durée du festival, nous
permettent ainsi d’aller de concerts en loges, de loges en concerts pour réaliser
des interviews avec de très nombreux artistes hétéroclites.
Les radios locales entre les années 1980 et 1990 étaient
(et le son encore pour certaines) beaucoup, beaucoup plus vues comme des radios
faites par des "Amateurs" s’en réelles personnes qualifiées derrières
les micros et les platines comme on disait à l’époque (rire).
Alors qu’aujourd’hui ces radios-là ne sont plus légions et
ont fait place à une sorte de radios enveloppez de professionnalismes de base
avec bientôt plus de personnes dans des bureaux qu’à l’antenne je parle de tous
ses titres masturbatoires comme ses directeurs d’antenne, directeur de
marketing, commercial (1), etc.
Alors, pour reparler quelques instants du rapport en
organisateurs de festivals et nous les animateurs de radios locales il faut
savoir que certains d’entre nous fessent un travail en amont auprès des
attachés de presse, des relations avec les médias pour que tels ou tels
festivals acceptent notre présence.
Nous les contactions 1 voire 2 ou 3 mois à l’avance avec
parfois des argumentations qui devaient tenir la route tant le festival avait
et à toujours aujourd’hui une réputation internationale.
Et lorsque ceux-là nous passer autour du cou le fameux passe
"Sésame" nous nous sentions alors de vrais pros (enfin pour ma part,
rire), c’est ainsi que j’ai pu côtoyer des gens de France inter, du journal
libération, de France 3, de "Radio populare" (radio italienne), etc., et
tous ceux-là semblez m’apprécier.
Et ceux-là tous ses attaché de presses qu’ils étaient nous
avez s’en que nous nous en apercevions à l’œil.
Ceux, celles-là demander aux artistes comment l’interview s’était
passé, bien ou mal.
J’avoue qu’il m’est arrivé de rater 2 ou 3 interviews, car personne
n’était à même de faire des erreurs.
Mais il m’est arrivé que ses mêmes attachés de presse me
disent après coup et/ou le lendemain avec un grand sourire :
"Tiens tels artistes à dit du bien de toi" ou
"Tels autres aimerais que tu le rencontres, car son ami un tel lui a dit
du bien de toi", etc., etc.
Et c’est ainsi que les radios seront reconnues pour leurs travaux
de fond et seront même invitées sur d’autres festivals.
Alors, après, sont venues les radios web (nées, disons, il y
a 10ans pour les plus connues et réelles radios du web).
Ses radios, là, ont apporté dans leurs bagages des innovations,
leurs nouvelles technologies qui entreront là de pleins fouets dans le 21e
siècle.
Et dans leurs bagages on retrouvera ce qui était les
prémices et que j’appelle la "R.A.P.O" (terme récurent dès les années 90
- 2000) - (2).
Alors, il est vrai que si l’on reste objectif, derrière tous
ses radios locales et/ou web il y a des humains indéniablement de toute façon,
mais l’une me semble être plus palpable que l’autre.
Je dis cela dans le sens ou une radio locale peu avoir
pignon sur rue, peut avoir une adresse officielle qui peut-être visitable, etc.
Oui, on peut facilement rencontrer ses animateurs, les
croiser dans la rue, sur des activités locales, leur parler même, etc.
Tandis qu’une radio sur le web cela peu ou pourrais passer
pour plus froid lointain intouchable, non ?
Car si les radios locales ont des locaux, des studios en ce
qui concerne les radios sur le web, elles, elles se font en général à la maison.
Dans son salon, sa chambre et/ou dans un coin de la cave
alors aménagée en studio (même si ici cela ressemble fortement au tout début
des radios libres des années 79-80).
Mais là, il et beaucoup plus difficile de palper le coter
radio entend que t’elle je trouve, pas vous ?
SUITE DIMANCHE...
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