Réflexion sur le "Salon de la radio" de Paris...(dernière partie).

SUITE DE MARDI...


Voici la suite et la fin de mon article consacré à mes vues d'esprits sur le prochain "Salon de la radio" qui aura lieu à Paris les 9 - 10 - 11 février prochain.

Et justement, après avoir développez mes points de vues sur les quelques thèmes primordiaux qui sont la, je trouve ouverts à la réflexion (et ont était déjà débattue l'an dernier) - (3) :

1-    Miser sur le contenu.

2-    La force de la proximité.
3-    Séduire grâce à l'information régionale.
Et enfin,
4-    Programmer efficacement la musique.
Voilà de quoi ouvrir bien des réflexions non ? 
Je terminerais donc cette humble tour d'horizon, par un point important des radios qui est le suivant :  
4 - Programmer efficacement de la musique.

Voilà aussi une des 10 règles d'or.

Alors, la cela prête à débat évidement, car il y a plusieurs écoles du genre.

Soit ont formate sa radio à du tout-venant entendre ici tous les tubes des tubes, les musiques que toutes passe et qui, à force d'écoute, nous soûle et nous gavent, voir nous font fuir au bout d'un moment l'artiste dans ce qu'il pourrait crée d'autres.

Oui, en fait je parle de tous ses moulins à musiques qui nous font ou ferait même penser que celui-là n'ai ou ne serait l'artiste que d'un ou deux tubes.

Les radios, tous genres et supports confondues doivent OBLIGATOIREMENT privilégiés la musique toute azimute, privilégiés TOUTES les musiques avec un grand "S".

Bien sûr, il existe les radios thématiques, "Blues - jazz - techno - classique", etc., etc.

Elles, quelques part, ne vivent que sur le fond précis d'un style, donc j'avoue que je leurs trouve ici une excuse tout faite à celle-là (rire).

Alors après, admettons que pour une radio qui aurait 70 voire 80% de music essentiellement techno, de club (de la musique venant du monde des "DJ" en fait) pourrait-elle se poser la question suivante :

"Une radio peut ou pourrait-elle inséré d'autres styles plus populaires et/ou encore plus complexe et à l'opposé pour diversifier sa programmation ?".

"Y perdrez et telle son esprit ?".

A la première question je dis oui.

A la seconde question je dis évidemment un "NON" affirmatif (rire).

La preuve, avec mes trois émissions.

L'une sur la world musique.

L'autre sur la musique contemporaine.

Et enfin la dernière (à venir) de débats.

Ces changements et/ou celons d’où l'ont ce place ses évolutions, ne risque-t-il pas de modifier les vues d'esprits d'origine des fondateurs de la radio qui voient là, s'en doute, avec l’arrivée d'émissions dites de "Blablas" une possibilité enfin offerte d'ouvrir leurs programmations musicales et par la même leurs antennes vers d'autres horizons.

Vers d'autres secteurs et pan d'audimat (qui reste le nerf de la guerre même si on se refuse à le dire).



Alors, après, la question qui se posent-à-elle, dans les grandes lignes reste :

"Qui dis nouvelles émissions avec du contenue parler dit aussi programmations musicales ouverte et différentes".

Après, en sorte de cause à effet, entre en ligne de compte le moment de la ou des dites émissions et/ou des moments de programmation des playlists musicales dites "Non-stop" ou des moments de la journée exemple celle de la nuit, de la matinée, de l'après-midi et enfin du soir.

Vous voyais alors la complexité du travail qui et demander au directeur d'antenne et/ou à celui charger de la programmation général de la radio ?

Le plus simple et de crée sur la semaine des cases horaires d'y glisser en forme de copier / coller des playlists à n'en plus pouvoir (musique au kilomètre fabriquer par des fournisseurs extérieur à la radio) et de couper certaines pour y inclure les émissions dites "Lives" et/ou "Enregistrer" via des animateurs bien vivants, bien humains (rire).

Ceux-là créent, produisent leurs émissions soit en studio professionnelles, soit depuis leurs domiciles après le travail, ce qui est pour mon second exemple le cas le plus flagrant et le cas aussi de beaucoup de radio diffusent sur le web bien sûr.

Après, ils y à les radios appartenant à des groupes de presses, des groupes de radios officiels, etc. 

Évidemment, celles-là ont des équipes tout faite qui gère tous cela.

Donc, la, oui, en effet, aucun soucis ne se présente à elles car des supports comme "Radionomy" par exemple (qui permet de crée sa propre radio) à tout à gagner à laisser évoluer le temps d'écoute de ses radios là.

Car, quelques part, ses radios dont je parle qui sont donc issue de magazine comme "Télérama", de presse écrite "Libération" etc., sont et deviennent des partenaires de hauts vols pour ses sociétés là, aux détriments des plus petites et/ou parfois (ne nous leurrons pas) de radio née et mourant dans un anonymat le plus parfait.

Alors, sur ses 10 000 radios Françaises certaines (toute en fait, rire) essaye de s'extirper du bord du puits sur lequel elles se trouvent prête à y tomber.

Celles-là alors font tous, tente tous, pour crée une réel différence et offrir alors quelque chose de neuf à leurs auditeurs.

Après la question qui se pose alors et :

"Est-ce possible ?".

Pour ma part je n'y crois pas.

Car, les radios tout catégories, ne nous y trompons pas, sont liées aujourd'hui à tenir grâce à une ossature, une ligne rédactionnelle-éditorial type.

Même, si je puis dire, elles doivent avoir la même éthique.

D’où, hélas, à mon avis une banalisation des discours généraux que l'on peut entendre d'un bout à l'autre de la bande FM et webistique.

Enfin oui, ils y à moult sujets proposer dans ce genre de salon consacré au monde de la radio qui je trouve sont à exploités et à développer par moi (rire) sur ce blog car et oui, toujours en correspondance avec ma très regretter radio locale "ONDES FMR"...




(1)   "C.N.R.L" ou "Confédération National des Radios Libres".

(2)   Lue sur le site de référencement "Radio.fr" janvier 2014.

(3)   Thèmes développer lors du "Salon de la radio" 2013.

Photographie :  "Radio web" trouver sur "Google" notre ami janvier 2014©®.


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