Etat des lieux de l'importence des radios web en france (2ème partie)...

Elles sont pour une grande majorité d’entre elles musicales, et dans le créneau "Music and news" chères à nos réseaux FM.
Tout comme la naissance et la prolifération des radios locales en France dans les années 1980, celles du web début 2000 elles poussent comme du chien dent (rire).
"LA" plateforme qui a vu entre autres leurs explosions et "Radionomy".
Cette plateforme permet de crée sa propre radio et de la de vivre sa passion, selon des stats et un taux d’audimat (on y vient voyais vous) elle paye les droits d’auteurs divers celons le pays ou vous la crée.
Ensuite, cette plate-forme vous impose son lot de publicités de tout style qui paye évidemment les frais de personnels de réseaux de serveurs, etc., etc.
Donc, difficile de jauger le nombre exact de radios web évidemment, mais dans leurs malheurs seuls, les plus audacieuses et le plus tenace perdurent.
Pour Bernay radio.fr nous n’avons pas pu avoir le temps de vivre plus de quelques mois, mais d’autre comme "Atomique radio.fr" vivent-elles plus longtemps celle-ci et née en juin 2013, donc plus de six mois augure du meilleur, car dans l’esprit d’une échelle de valeurs, celle-ci à gagner près de deux symboles (un casque hifi) sur les 5 à atteindre, on peut ici les félicités.
D’ailleurs pour revenir sur du plus générique on peut lire celons une analyse (lue sur le web) que :
"Le principal avantage d’une "Web radio" est aujourd’hui d’être accessible n’importe où dans le monde (à condition, bien sûr, de pouvoir accéder à internet) et via, quasiment, n’importe quel mobile (smartphone, baladeur, ordinateur portable,...).
De plus, comme leur coût de revient est très faible comparé aux radios classiques, elles peuvent vivre même avec un nombre d’auditeurs restreint."  (5).  
Tout est dit ici.
Alors, pour ma part il n’y a qu’en fait trois choix possibles :
1 - Soit ont cours après les finances (pour subvenir aux besoins de la radio, soit juste pour se faire de l’argent).
2 Soi a cours après les auditeurs.
3 - Soit on peut lier les deux en essayant de trouver un compromis acceptable pour ses créateurs.
Compromis jouent en fait sur les deux tableaux, en y ajoutant, si possible, donc, la création et la volonté d’offrir un réel contenue radiophonique (même si copiant ceux qui existe déjà dans les radios des réseaux nationaux, par envie et par plaisir) tout en accepte de faire ce mêler le tout-venant et les choses plus disons, spécifique.
Spécifique dans le sens où je me s’en, je l’avoue, plus à l’aise dans un créneau un peu à part avec mes émissions de musiques world et/ou de musiques contemporaines en sachant qu’il y a plus pointue que moi dans certains secteurs aux concepts plus ardus et complexes que moi (rire).
Alors, après, il va de soi qu’au sein d’une radio qu’elle soit (local ou web) une unité de ton et de respect de certaines règles a un intérêt certain, rendre l’ensemble cohérent.
Avoir des gardes fous pour maintenir une sorte de droiture, de ligne directrice.
Mais, oui (je sais, je ne fais rien comme tout le monde, rire) pour ma part, il et je trouve importent d’avoir quelques chiffres, sorte de mini analyse d’auditoire pour me permettre de voir si mes créneaux peuvent perdurer ou non.
De savoir vers quelle orientation je dois fixer ma programmation musicale d’une émission à l’autre.
Par exemple si telle ou telle semaine tel ou tel pays à était plus à l’écoute à moi de diffuser des titres venant de ce pays-là, mais aussi d’accentué sur un autre pays pour l’amener à découvrir mon humble travail voilà à quoi pour moi doivent servir les chiffres.
Non pas juste à se dire "Bon s’en je suis un bon, je fais tant d’audimat par jours d’émission, c'est géniallll" non (rire).
Et je ne suis pas mécontent de mon niveau.
En effet, pour les diffusions de mes émissions propres j’oscille entre 90 et 130 auditeurs lors de sa diffusion en "Live".
Ce qui m’encourage là à faire mieux et à proposer évidemment des choses plus précises dans le concept même de l’émission.

SUITE SAMEDI PROCHAIN....

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