Il a toujours était difficile je trouve de sonder, jauger,
analyser la façon dont les gens, dont vous les auditeurs vous écouter les
radios.
Oui, outre les grandes radios françaises (une bonne
vingtaine) qui utilisent, elles, des organismes de sondages telles tous ses
"Médiamétrie", "Ipsos", etc.
Tandis que nous, dans le secteur des radios locales très alternatives
et si je puis dire, malgré tout, et s’en vexer personnes "Obscures",
nous avons tous de même quelques chiffres qui nous parviennes.
Il paraîtra même que ce serait près de "42,3 millions
de personnes qui écoutent chaque jour la radio,
Soit 8 Français sur 10, pendant 3 heures en moyenne. Elle est d’autant plus puissante le matin,
entre 6 heures et 9 heures, période durant laquelle l’essentiel de son audience
est réalisé (2/3 de l’audience).
Selon Médiamétrie, la radio arriverait même en tête des
médias les plus consommés le matin."
(1).
Alors, après, si tout fondateur de radios à un souci et une
volonté de faire, si je puis dire, de l’écoute il lui faut déjà remplir avec
intelligence cette règle du fameux "Matin".
Après, il pourra tout à loisir organiser sa grille des
programmes en continuité de son début de journée.
Et la et seulement là, il pourra offrir des émissions soit
thématiques soit variées en tentent de crée un ensemble cohérent à la fois
souple, léger et, mais aussi dit "Informatif" et/ou de débats et/ou
encore (rire) dites de "Blablas" comme mes émissions.
Bien sûr je ne compare pas l’incomparable.
Ensuite, il nous faut et/ou fallait savoir qu’elle, poids, qu’elle
empreintes, quelle impactes avais les "ONDES FMR" dans les
populations, j’entends par la classe d’âge – social, etc. (relire à ce sujet
précis mes articles sur l’unique sondage que la radio à pus avoir).
Donc, les radios locales sont-elles un réel impact qui
pourrait alors être lie à une sorte de mini pouvoir ?
Il est écrit aussi qu’"Au total, rien dans le fonctionnement
du "F.S.E.R" (2) n’incite les radios à rechercher une progression d’audience : leur appartenance à la catégorie des radios
associatives borne la part des recettes de publicité à 20 % de leurs
ressources ; en pratique, la part moyenne des ressources publicitaires
est, pour ces radios, très en deçà de ce plafond, comme cela a été souligné supra." (3).
Donc il avait bien était commander un sondage officiel qui
donner des chiffres sur l’écoute des radios locales.
Et on peut lire alors dans ce même sondage que "La part
d’audience des radios locales oscille selon les régions
entre 1,1 % (région Centre) et 5,3 % (Auvergne), s’établissant en
moyenne sur l’ensemble du territoire à 2,2 %." (4).
Mais pourquoi à tout prix vouloir savoir ces sondages-là ?
En parlent de sondages, etc., il serait peut-être utile je
trouve de définir et d’expliquer ce à quoi ils correspondent non ?
Alors donc en 1er lieu.
"AC" :
"AUDIENCE CUMULÉE" (en %) = pourcentage de
personnes ayant écouté au moins une fois dans la journée (5h-24h).
"DEA" :
"DURÉE D’ÉCOUTE PAR AUDITEUR" (en minutes).
"PDA" :
"PART D’AUDIENCE" (Part de marché) = part que
représente le volume d’écoute d’une station, d’un agrégat ou d’un couplage dans
le volume d’écoute global du média radio.
Ce qui nous montre que cela et du sérieux et non pas, plus
de la rigolade vous ne croyiez pas ?
Mais dites-moi, ma nouvelle question et la suivante :
"Pourquoi les radios locales et celles sur le web en
général ne se contentent-elles pas de vivre et de faire de la radio ?".
Car aujourd’hui il faut parler en part de marché, en
implantation dans la population, de marketing, etc.
Car même si les radios locales de catégorie "A'"
comme le furent les "ONDES FMR" ont le droit de faire de la publicité
à hauteur de 20% il leur faut trouver aujourd’hui des moyens de vivre et de
survivre.
Aujourd’hui il y a dit-ont quelques milliers de radios sur
internet elles sont de tout style des, parfois, plus incroyable, au plus,
basic....
SUITE MERCREDI...
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