Les médias de l'éphémère...

Une question se pose à moi.
Peut-ont à notre époque 21es siècles crée un média fiable sérieux qui aurait de l'ambition s'en se croire déjà arrivé ?
Ce même média qu'y aurait, une durée de vie dépassant les six mois ?
Alors oui, je sais, notre époque et une époque de l'éphémère d'une sorte de consommation de l'immédiateté.
Oui, ont le vois tous les jours, ont prend, on consomme et ont jet aussi sec.
La vie est ainsi faite.
Donc, pour le sujet de notre d'article ont créait un média sur un laps de temps court, on ne paris plus sur l'avenir, ses dommageables.
On veut une sorte de rentabilité immédiate.
Rentabilité qu'elles soient pécuniaire, d'image de marque de son soit face au monde, mais elle peut-être aussi (et aux "Ondes FMR" ont à donner plus qu'à notre tour, rire) aussi pour qu'il soit comme d'une espèce de marche pieds pour autre chose, pour ceux qui ont des vues plus hautes qui dépassent alors le simple cadre d'un média.
Alors que nous quelques pars à l'inverse aux "Ondes FMR" nous n'espérions, n'aurions pas parié que nous tiendrions près de 25ans de vie pour notre humble média.
Et aux vues de la 1re année puis de la seconde et ainsi de suite nous nous sommes conforter dans l'idée que notre média avais sa place a joué dans le paysage informatif local.
Alors après, les questions pseudos existentielles sur :
"Pour qu'elle tranche de personnes travaillions-nous ?" et blablablas.
Oui, c'
est une des questions que l'on et en droit de se posé, mais bon.
Après, et ceci n'est que mon avis, ce n'est pas vraiment aux médias de se fondre dans la masse, mais quelque pars (rire) à la masse de se fondre et faire corps avec son média de proximité vous ne croyais pas ?
Ainsi, aujourd'hui crée un média en partant de zéro, s'en apport financier et s'en, aussi, rentabilité de celui-ci et une chose lourde, une sorte d'épreuve, un cap difficile à passer.
Certains le passent haut la main et d'autre pas et baissent les bras.
Vous savez, c’est comme pour un couple de jeunes mariées, en fait le plus dur se son les 7 premières années de vie commune ensuite, ce sont les 10 suivantes (rire).
Et bien pour un média, peut-importe ici sont support, s'est est-je envie de dire, la même chose.
Mais, cela, si je puis dire se rétrécie dans le temps et on se donne maintenant entre 6 mois et un an pour pérenniser celui-ci et après, ont baisse les bras.
On a beau faire des plans sur la comète, on a beau mettre en branle toute une batterie de "Business plans" d'analyses de secteur, de ceci cela toujours est-il que si les buts fixés ne sont pas atteints ont clos le projet.
Nous ne sommes pas loin là et vous avais raison, d'une politique patronat ou de la gestion d'un partit politique s'est vrai.
Cette vision qui voudrais que si un outil n'est pas rentable ont ne perds plus de temps on passe à autre chose.

Et si cette autre chose ne dure pas ont vois ailleurs et ainsi de suite.
Ils et si facile de crée, de faire naître des choses pour les tuées quasi dans l'œuf.
Après, amis créateurs de radios vous devriez vous faire vos propres analyses et vous regarder dans un miroir et vous dire que vous donnez de l'espoir aux gens, que vous crées une attente, que vous ravivez des flammes de ceux qui se mêlent à votre projet en y croyant ferme et dur comme fer et de leurs dires six mois, un an après "C'est bon, on ferme la boite" ou vous leurs dites "On délocalise alors qui m'aime me suive".
Tiens j'ai déjà entendue ce refrain la quelques pars moi (rire).
Ne me dites pas que l'histoire se répète, ho nonnnnnnnnn ? (rire).
Alors oui, voilà, l'histoire se répète.
Les lampes qui furent ravivées vont-elles devoir se remettre en veilleuses ?
C’est la dure loi de la vie.
De gens qui veule jouer et qui parfois se brule aux feux de certaines choses et qui se disent si cela ne marche pas ici peut-être qu'ailleurs qui sais...
Voilà.
Un média qui va s'envoler vers d'autres contrées avec ou s'en moi, je ne sais pas trop, je ne sais pas encore.
Ma passion pour les musiques du monde et fort encré en moi et s'en doute continuerais-je ce beau projet-là ?
Continuerais-je ce beau et nouveau voyage ? (1).
Mais bon, l'essence même de mon travail au sein de ce, ces médias-là et le travail de proximité, et le local.
Car j'estime qu'avant d'aller voir en d'autres contrées s'il y a des choses à voir, faire ou entendre, sachons déjà ici et maintenant tendre l'oreille et le micro à ceux d'ici qui ont des choses à dires, vous ne croyais pas.

(1) Je vous dirais ce qu'il en et dans un prochain billet, article alors rester donc à l'affût (rire).
Photographie :
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