Les "ONDES FMR" dans les médias au fils du temps...(1er partie).

Pour continuais si vous le voulez bien sur la thématique du rapport que notre radio entretînt avec les medias, j'aimerais ci-dessous développer un peux plus cela depuis notre naissance en 1986 (1er émissions, jusqu'à sa disparition).
Article en deux parties dont voici la première.
1er partie :

Nous aurons ici aux Ondes FMR un rapport à part avec les autres médias (1).
Outre la presse locale qui sera en quelque sorte notre béquille et chambre d'échos, la presse régionale et hexagonale elle nous reconnaîtra un certain intérêt.
En effet, il est évident que cette presse la du moins, ses médias la se ferons plus l'écho de nos activités extras radio que sur la radio en elle-même.
Les articles sur nos actions feront soit la une ou une pleine page ou encore un car de pages, voir le, car d'une colonne des dizaines de fois pour ce qui est de la presse locale (pour preuve mes nombreux dossiers de presse, rire) (2).
Quelques autres pages seront aussi consacrées à notre travail d'animateurs de radio.
Mais quel rapport ces médias-là entretenaient-ils avec nous ?
De quels yeux nous voyaient-ils ?
Étions-nous pour eux comme menace sans réels risques ?
De sympathiques collègues ?
Ou tout simplement de gentils doux dingues qui joué à la radio ?
Oui, ils nous arrivé très, très souvent d'être sur des évènements communs (ce que je dis ici et une sorte de non-sens car un événement locale ne peut voir que les médias locaux ses sûr, rire) et jamais l'un ou l'autre ne s'est dérangé ou poussée du coude pour avoir un pseudo rapport "D'exclusivité" quelconque, non.
Nous étions chacun à nôtres places, de toute façon, nous ne jouions pas dans la même cour.
Entre une rédaction de professionnelles et nous, il y avait tout un monde.
Nous n'avions et n'aurons jamais eus de réel salle de rédaction, non, nous disions comme cela à la volée (au début dans les années 80) lors de C.A ou de mini réunions comme cela "Ils y à telles ou telles activités sur la région proche, ça intéresse quelqu'un ? ".
Et à mon souvenir ils n'y eurent jamais 50 doigts qui se levé alors pour faire la tache (rire) tandis que pour la presse officielle s'était leurs boulots de journalistes et de pigistes que de faire cela.
Mais Il nous arrivera tout de même de collaborer avec eux dans ce sens que la presse publieras des articles dont le contenue fut des interviews réalisés par des animateurs lors d'activités en extérieur ou dans nos locaux (j'en publierais moins une petite dizaine pour ma part).
Échange de bons procédés ou montre de la sympathie des uns sur l'humble travail méritant des autres (tous bénévoles est amateurs qu'ils étaient, que j'étais, rire) ?
J'eus aimé que le poids informatif des Ondes FMR fusses aussi fort que celui de nos concurrents et non moins amis.
Oui, j'eus ce souhait dans le sens que lorsqu'un média disait (s'est toujours vraie) que telles livres, spectacles ou autres était bien à voir, lire, entendre cela avait un poids sur le comportement décisionnel du public quant à leurs choix d'activités culturelles-o social.
Quelques personnes toutefois me signifierons, disséminé sur mes vingt ans de carrière, ici à Bernay ou ailleurs (en Bretagne notamment) que "Quand on vous voit monsieur sur telles ou telles spectacle nous pouvons gager qu'il sera bon tant vous avez une curiosité intéressante" et oui.
Alors, dite moi est-ce un pêcher ?
Oui, aurais-je du me sentir honteux, non, je me senti quelqu'un et fier même de ses propos là.
Certains, sur le tard, solliciteront la télévision régionale "France 3 Normandie Rouen" pour ne pas la citer (rire) et alors donneront une image de la radio par le visage et idée d'un seul homme (dans les années 2000, rire).
Mais "France 3 régions" (pour faire court, rire) ne feras sur notre station que quelques rares, très rares reportages (à compter sur les doigts d'une main, je pense qu'il n'y en eus pas plus de deux, en fait, rire) tant ils auront vite remarqué les opportunismes et autres jouisseurs du "JE" nombriliste et de ce fait il ne ce laisserons plus y reprendre.
Les autres radios tant de la région comme "Radio France Normandie Rouen" (aujourd'hui France bleue) que les locales ce ferons l'écho sympathique, mais avec toutefois parcimonie, de notre existence et/ou de nos diverses activités extras radio uniquement (ce référés aux deux articles sur les activités extras radio sur ce même blog).
Nous aurons ainsi un soutient s'en faille de la part de la pionnière des radios Euroises (à ma connaissance) je parle des amis de feue "RADIO POMME" à Louviers qui eux nous inviteront dans leurs studios bien plus exigus que les nôtres qui seront spacieux et semblerons petit-bourgeois (rire).
Mais le but commun qui nous liées tous fut l'esprit communautaire du partage et des échanges.
Notre radio ne se sera jamais donné les moyens de réaliser cela, je veux dire un vrai travail de communication.
S’en doute n'était-ce pas à l'ordre du jour des uns et/ou des autres, car d'aucun penserons que cela n'avait sans doute pas ou prout d'intérêts ?

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