Ceux qui ont mixée mes émissions...


Dans ma longue carrière radiophonique au sein des "Ondes FMR" (je le rappelle près de 20ans) j'ai, comme l'ont dit, mixée pas mal d'émissions ("Mises en ondes" aussi pour employée un terme plus joli et professionnelle, rire).
Mais, pour ma part, j'ai eu aussi pas moins de trois émissions que j'ai animées (dont deux seront un temps, mixé par des techniciens).
Petite précision s'il le faillait, nous fumes tous et toutes des amateurs (plus ou moins averties de la chose) au sein de cette radio et ainsi, personne prévalez de s'est qualités envers l'autre.
Non, nous essayâmes alors de partager nos découvertes et connaissances sur le sujet.
Alors, aux dépars, celles-ci (mes trois émissions régulières) furent mixées - animé et post produites par moi-même, je sais, cela semble et fait vantard, mais c'est comme cela.
Je ne me cache pas, plus, sous de la fausse modestie qui en étouffa plus d'un lorsqu'ils jouaient les "EX" animateurs et/ou membre du bureau exécutif.
Bref, j'ai vécu tout cela et je le revendique et l'assume à 2000 % jusqu'à mon dernier souffle.
Donc, pour en revenir à mon sujet (sommes toutes plus intéressent, rire) j'eus donc :
1 - Une émission de débat ouvert tous azimuts (du lundi au vendredi de 14 h à 15 h, des années 1995 à 2000).
2 - Une émission sur le thème de la musique classique et contemporaine le mercredi soir (tous les quinze jours coanimé par L.A. de 20 h à 21 h, des années 1995 à 2000).
Puis enfin,
3 - Une émission diffusée tous d'abord le vendredi soir puis le mardi soir de 22 h à 24 h (de 1986 à l'année 2000)
Année 2000 qui sera pour moi hélas, l'année de cessation de toutes mes activités radiophonique.
Alors, si j'ai commencé par être un simple animateur polyvalent et technicien d'un tas d'émissions, je le fus aussi et avant tous pour mes propres émissions, bah oui hé.
Et il s'avérera que l'adjonction, l'aide d'une tierce personne seraient la bienvenue à mes côtés.
Pour l'émission hebdomadaire nommée "Rencontre avec", ce sera l'ami V.B qui sévira là aux platines et à mes côtés.
Ce sympathique jeune homme était alors lycéen et il donnera plus qu'à son tour et volontiers une heure (voir plus) de son temps pour m'aider (et aider les autres aussi) à mettre en ondes cette émission qui voyait défiler alors dans le studio de la radio (rue de la victoire à Bernay) tout un tas d'invités hétéroclite.
Il acceptera alors mes légères colères, ma façon de pinailler pour ceci, pour cela et aussi ma rigueur (merci ici à lui) ce qui aura aidé à la pérennisation de ce créneau ainsi que de la qualité de cette émission.
Il aura jonglé avec H.D (qui anima le créneau 11 h – 13 h hebdomadaire) au mixage de celle-ci lorsqu'il avait cours ou des examens (ou autres empêchements personnels), ce qui fut logique évidemment.
Ensuite, pour l'émission de musique classique et contemporaine se sera moi encore l'unique technicien en sorte de vielle complicité amicale qui me lie avec la co animatrice L.A qui avais le créneau juste avant.
Enfin, pour ce qui et de la troisième émission.
Ce sera un créneau très personnel pour "MON" émission (rire).
En effet elle sera le reflet de l'une de mes grandes passions qui me feront devenir quelque pars militant et reconnue comme tel sur place pour une cause que je penser et pense toujours juste et bien.
Celle-ci auras trois vies, trois noms trois génériques, mais toujours le même font qui me passionne encore aujourd'hui.
1 – le vendredi soir 21 h - 22 h (1986 – 1990).
Mixées par T.E, (qui animé une émission de rock).
Car il faut dire aussi que nous avions instauré une sorte de solidarité et d'échange de bon procédé, forme de socialisation des êtres et des personnalités qui là devait mettre de l'eau dans leurs vins et profiter, mais faire profiter autrui de son temps et de ses connaissances, toutes petites soient-elles.
Donc, l'idée était que je mixé l'émission d'avant la mienne (du rock alternatif) et l'animateur alors mixé, la mienne même, si le genre développer n'était pas trop de nos goûts et genres préférés (rire), etc., etc.
Donc, cela durera avec cette personne quelques semaines, quelques mois (ah ! sacré mémoire qui me fait défaut).
Et plus cela aller, plus je dépasser le temps d'antenne qui m'était alloué (contre, quelque pars, ma cotisation annulée d'alors) et j'acquerrais alors très vite le créneau le plus long de la radio.
Oui, j'avais, grâce à la sympathie générale de l'équipe (mais aussi parce que celui qui me mixée alors ne pouvais plus suivre, rire) eu le droit, donc, d'avoir entre deux et trois heures d'antenne tous les vendredis soir pour ma seule émission.
J'ai toujours tenue à faire mes émissions en direct live s'en filée le plus possible.
Il faut dire que j'étais bavard comme viens pas (comme l'ont dis) et que j'avais pas mal de choses tant musicales, que littéraire, poétique, enfin socioculturel et militante, etc., à faire découvrir aux auditeurs il ne me fallait alors pas moins de, deux, trois heures, pour débattre de tout cela.
Ce qui fait que cet animateur-là qui avait une vie sociale et salariale (il travailler le samedi toute la journée) ne pouvait plus suivre.
Ainsi, je me retrouvais donc seule pour la suite de cette émission durant quelques semaines, quelques mois.
Mais, s'est lors d'une fête de la musique (à l'époque ou elle voulait encore dire quelque chose) que je croisée donc un jeune qui chanter aux abords d'un café et que j'invitais donc dans mon émission et il y vient accompagnée de toutes une équipé d'amis (trois femmes et deux autres hommes).
Imaginer alors ma surprise et le monde qu'il y avait alors dans le studio (celui, pour ce coup là, de Saint Victor de Chrétienville).
Je ne me souviens plus trop comment la rencontre s'est faite, mais toujours et-il que l'un des amis masculins qui étaient venus avec eux se prit d'amitié pour moi et se tentât aux doux plaisirs du mixage radiophonique (chose qu'il n'avait jamais faite au paravent).
Alors, après quelques initiations rigoureuses de ma part (vous vous en doutez, rire) il deviendra alors "MON" technicien attitré, mon mien z'à moi.
Oui, enfin, ais-j'envie d'écrire, mon véritable rêve de gosse se réalisa.
Ce rêve qui fut d'être derrière un micro avec un casque visé sur la tête des notes écrite sur un papier et un technicien en cabine, en régie rien que pour moi.
Alors oui, enfin là, je faisais de la radio "Comme en vrai".
Vous n'imaginer pas alors comment je jubilé et était fière mon dieu.
(De savoir en plus que ma famille et quelques rares amis de l'époque m'écoutés, waouh).
Ce technicien s'appelle "Pascal G" (non, pas celui qui marionétise la ville aujourd'hui, non), mais un ami, un vrai complice qui me suivra quelques années.
Il poussera le plaisir de mixée mon émission en vrai professionnelle jusqu'au faite de venir me chercher à mon domicile et de mis ramènerais lorsque nous avions fini notre travail.
Je n'avais jamais eu et ne rus jamais quelqu'un d'aussi à l'écoute et attentionné à mon égard et de la à travaille que lui.
Imaginé, je n'avais parfois même plus besoin de jeter un œil au travers de la vitre pour lui faire signe du doigt pour qu'il lance tels ou tels disques, interviews ou jingles.
Oui, il savait, ce cher "Pascal", tous simplement à l'intonation de ma voix quand il devait faire ceci ou cela.
Je vous le dis, ce fut magique.
Même s'il n'était alors à l'époque pas question de payer de quelconques frais d'essence cela n'était pas trop dans les mœurs du bureau exécutif de l'époque il donnera s'en compter.
Tout ceci, cet homme le fera par volontariat et plaisir.
Je l'est recroisé 20ans après (ces jours de juin 2009 d'ou l'idée de cet article comme pour lui rendre un sympathique hommage de son vivant, rire) en ville, il ma de suite reconnue moi de même et je pense qu'il à dus garder de bon souvenir de notre collaboration.
Lorsque "Pascal" quittera à l'aube des années 1990 son poste de capitaine de mon vaisseau-émission (pour les raisons qui sont les siennes) je reprendrais donc seul le flambeau, les reines et la main totale de mon émission.
Ceci, lorsque nous quitterons nos premiers studios pour venir sur Bernay ou la, j'œuvrerais désormais seul sur la bonne dernière décennie qui me restera à vivre au sein des Ondes FMR pour mon émission pionnière de la région.
Ho ! Ce n'est pas fautes d'avoir tenté de retrouver un technicien, non.
J'en et tester deux ou trois je crois, mais ceux-là, et avec tout le respect que je leurs dois, ne sauront pas répondre à mes exigences et si il y en avait eus un il n'aurait pas tenus le coup sur la longévité.
Ah, mon émission.
Ah, ma radio qu'est tu devenue ?
Ce travail dans et pour s'est trois émissions de radio (outres mes nombreuses participations à d'autre émissions) m'auras permis de rencontrer tous le gratin qui oscillé autour de ces nombreux genres musicaux là, et par là même de mis faire un nom de valeurs et reconnue.
Ce qui donne du crédit au proverbe suivant qui dit "Nul n'est prophète en son pays"…
Photographie : "Technicien radio" trouver sur Google notre ami juin 2009 ©®.
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