"J'ai fais un rêve" ou quand je serait grand je serait animateur de radio maman...


"Quand je serai grand, je serai animateur de radio maman…".

Oui, c'est s'en doute ce que j'ai pu dire à ma mère à l'époque de mes 10ans (rire).

Eh oui, comme vous tous à cet âge la j'avais le rêve facile, je rêver de grandes et belles choses pour moi.

Comme me voir entrant dans une station radio parisienne (excuser du peu, rire, "France inter" ou "Europe nº 1") et m'assoir alors derrière un micro avec un casque sur les oreilles.

"Top générique 5, 4, 3, 2, 1," lumière rouge allumée.

Oui, quand j'avais 10 ans je rêver, non pas d'être pompier, terrassier (comme mon père), gendarme, vétérinaire, avocat ou je ne s'et quoi (rire), non.

Non, moi je rêver que je travaillé dans une radio.

"Ah d'accord, tu veux être radiologiste sais ça ?" et moi de répondre agacé, mais souriant "Mais non, heu, Pfuu, je veux faire parler dans un micro"…

À y réfléchir aujourd'hui mon travail de lecture (diction) à l'école primaire (qui me vaudras des félicitations tout de même, rire) mon travail de rédaction scolaire (collège) fus s'en doute et s'en calculs les prémices de ce que j'allais devenir plus tard c'est-à-dire un homme qui aime la communication, et surtout parler, écrire, partagé et rire.

Je rêver beaucoup aussi vous vous en doutez en regardent dans les magazines que je feuilleté à l'époque sur toutes ses photographies, non, désoler pas de femmes dénudées, non (quoique comme tout enfant et ado je ne passasse pas à côté, mais bon, rire).

Oui, je rêver sur des photographies de studios, de gens qui portés des casques sur les oreilles et qui parler derrières des micros, de toutes ses ambiances tamisées et surtout les horloges qui s'égrener s'en fin.

Alors, quand mi-enfant mi-ado je découvris le film "Tout le monde il et beau tout le monde il et gentil" (de Jean Yann) waouh, la pour ma par ce fut le choc.

"Dis maman ! Regarde, s'est ce métier la, c'est ça que je veux faire dit maman s.t.p. merci"…

Oui, je rêvé aussi que je travaillerais dans une radio.

Dans cette radio il y aurait de grands studios, que nous aurions une grande salle ou il y aurait plusieurs bureaux (je ne savais pas trop à l'époque comment ont disait, mais j'appris plus tard que s'était une salle de rédaction) avec posés dessus un téléphone, un PC, des feuilles éparpillés partout des crayons, des notes, des post-its, des CDs posés la sur les bureaux comme en vrac.

Je rêver que nous étions une bande de potes soudés, aimants et unis pour et vers une même volonté "Faire de la radio".

Oui, je rêver si fort et parfois tout éveillé (rire) et bien que j'en construisis des studios virtuels dans un coin de ma chambre avec des micros fictifs avec des bouts de bois, de la mousse (ma mère s'en souvient, car combien de manches à balaie je lui et scié la pauvre, rire) et un brin de ficelle qui pendez de celui-ci (bah, oui quoi, comme en vraie, rôoooo).

Je me construisis un second studio plus pro ce coup la dans le grenier de notre maison familiale avec trois chaises une table ronde et évidement trois micros et casque est la j'ouvrer mes notes, mes minis articles et je m'envolé sur mon nuage jusqu'à des heures tardives inimaginables pour un ado.

Oui, je m'étais construit un studio à moi, et la des la sortit de l'école j'y passé des heures et des heures.

Quand d'autres trainaient les rues, jouées au foot-bal, aux soldats de plomb où draguer les filles (bah quoi oui ça chatouille aussi à cet âge la, rire).

Et bien moi, oui, moi eh bien non, moi, mon plus grand plaisir s'était de rentrer chez nous faire mes devoirs, goûter et surtout de monter vite fais dans ma chambre et la de me poser le cul sur ma chaise et de parler, raconter des choses s'en importance, mais dès lors que je me trouver devant mes micros de fortune et bien je n'étais plus moi-même.

Je n'étais plus moi, celui qu'ont voyais, mais j'étais alors un "ANIMATEUR DE RADIO".

Alors, vous savez lorsque tous ses souvenirs me remontent en mémoire et au cœur (s'en aigreurs) et bine je le dis haut et fort ici j'emmerde tout ceux, celles qui mon toujours pris pour une merde, un profiteur, un type s'en valeur, s'en capacités d'animations, etc.

Car dites-vous biens que pour un type incapable de vivre ses rêves, un opportuniste, enfin bref tout ce dont ont m'affubla depuis mes 10 ans jusqu'à mon écart volontaire des "ONDES FMR" en 2005 et bien, moi, j'ai vécue une grande partie de MON, mes rêves ses tout.

Alors, seuls ceux avec qui j'ai pu partager des moments de radio pirate dans ma cave familiale, mes, nos visites dans des radios régionales, et toutes ses vingt années passées à poussait, soutenir, voir naître, éclore des carrières dans les voix que ceux-là se fixé et qui en avais inconsciemment besoins et bien voilà ma grande force et joie aussi avoir était la pour eux (même si ceux-là aujourd'hui oublient ce que j'ai fait).

Vous savez je n'attends de merci de personnes, j'ai tracé ma route et ses tout.

La mort efface quelque par la trace que vous avais laissé.

La mienne de trace elle et la profonde dans mon cœur, et je l'emporterais avec moi.

Jamais personne ne comprit en fait (à pars ma famille, mais plus particulièrement mon frère et ma mère qui furent volontairement et consciemment, rire, les jouées de ma passion en la vivant avec moi) cette passion dévorante que j'ai acquise tout gosse.

Je rêver de rencontrer tels ou tels artistes.

Je rêver de reconnaissance.

Je rêver comme vous tous d'être aimé pour ce que j'étais, pour ce que je pouvais apporter aux autres.

Puis un jour de 1984 "ONDES FMR" est né là sous mes yeux.

La, mes rêves se sont alors concrétisés, matérialiser.

J'eus une émotion si intense que cela peut se rapprocher d'une certaine forme de jouissance que de vivre un moment pareil.

Mais vous riez s'en doute en ne comprennent pas le fond de cet article (rire).

Oui, rendez-vous compte, vous rêver 10 ans de votre vie de quelque chose qui vous paraissent impossibles et la en fait votre rêve se matérialise.

Alors, comment ceux, celles qui ne me connaissent pas peuvent-elles en faite me juger de tous les mots de la terre.

Est-ce de la jalousie d'une certaine facilité à faire ?

Est-ce parce que mon travail de bénévole ma amené partout sur tous les plans, parfois fronts (rire) et que du coup ses mon image qui devint porteuse d'une idée de la radio locale tout comme D.P jouera cette facette la (avec d'autres calculs, alors que moi je n'et jamais rien calculé) ?

Oui, dois-je me sentir coupable aujourd'hui dus fait que mon visage, ma personnalité soit ainsi indissociable de feus "ONDES FMR" ?

Car qui ne ma pas vue au moins une fois avec un magnétophone sur l'épaule micro en main arpenter sans relâche les rues, ruelles, places de la ville à la recherche d'une interview, d'une information, d'un sondage, etc.

Dites-moi, est cela qui les à rendues haineux à ce point en vers moi ?

Enfin, tous ceux-là sont aigris à la base de leurs vies s'en doutes ratées et donc de ce fait ne comprenne pas pourquoi un type innocemment loin des calculs vils et manipulatoires des uns veut faire tout simplement de l'outil nouvellement crée un rêve qui devient alors l'outil, un moyen d'offrir la part de rêve qui et dans le cœur des autres…

Photographie : Trouver sur "Google" notre ami novembre 2008.

Aucun lien internetr pour cet article.

Commentaires