Les handicapes c'est à quel niveaux qu'ont les voit ? (ou la radio totale respect des différences)...


La radio Ondes FMR se sera évertuée et ce des le départ à faire la par belle aux différences.
Il n'est pas choses aisées que de parler de tout ses handicapes qui blesse les hommes dans leurs cœurs et leurs identités face au monde régler sur l'idée d'un corps sain et capable de travailler.
Donc, s'en aucune façon de dénigrer ceux-là dans cet article je vous rappelle l'un des buts premiers des Ondes FMR "le respect des différences"….
Nous le développons depuis le premier article de ce blog et ses différences sont politiques – générationnelle – de rapport à ce qui et sociétal - musicales évidemment, etc.
Alors pour cet article je m'attarde ici quelques instants sur le rapport que nous entretenions avec ceux et celles que la société mettait de cotés.
Quel soit dus aux couleurs de peaux, aux looks vestimentaires ou aux aspects plus, comment dire, heu, de rapport moral et/ou physique de certains individus (animateurs) avec la société en général.
Tout d'abord des marginalisés.
J'entends par la le fait qu'écouté une musique qui hélas, aux vues du monde étriquer et sur de bonnes rails (soit-disent) dans lequel nous vivons et qui nivelle tout (TV au premier plan).
Donc, oui, ils et des genres croyons nous qui les cloisonnes et enferme dans un genre :
"Le rap – le punk – le hardcore" et enfin grosse variété française/internationale, etc. (pour ne citer que celles-là).
Ce n'est pas faux non plus que de dires que ceux-là ne veuillent jamais frayer avec d'autres.
Je veux dire que le style peut s'en doute être un vecteur d'enfermement sectaire, radicale qui pousse les uns envers les autres à ne pas se fréquenter, je me trompe ?
Mais la radio jouera le rôle qu'elle se doit d'avoir (rire), c'est-à-dire celle de passeur, vecteur de passion.
Dans le sens que rien que par le fait, d'une certaine manière, d'imposer à l'autre sont genre et biens ils séviront sur nos ondes avec grand plaisir même si nous ne pipions mots à leurs jargons culturels spécifiques (rire).
Même aussi si certain "yo-yo" (comme dis l'autre, rire) ferons croire qu'il son passionner outre mesure.
Des êtres à la sociabilité difficiles, disais-je, oui, des personnes à forts caractères (certains aimant l'alcool plus que de raison laisserons je l'est vue moi-même leurs bouteille sous la table du bureau à l'entrée du studio, comme d'une marque de respect.
Ceux-là tiendront un discourt sociologique – politique et développerons sur le pourquoi de telles ou telles tendances dans leurs mouvements musicaux attitrés (Punkitude, Hard Core, Heavy métal).
Quand d'autres, j'en foutistes de première n'hésiterons pas à consommé du stupéfiant aux yeux et nez de tous (hélas le créneau ne démentira pas les lourds préjugés que la société en à (reggae – rap).
Puis nous ouvrirons notre antenne à ce que l'ont pourrais appeler "déficiences physiques et/ou mentales".
Elles trouveront en Ondes FMR un moyen de s'exprimer, et aussi un moyen pour certains de voir que, oui, ils existent aux yeux du monde et que nous ne formions qu'un seul et même groupe.
J'ai vue ce brassage de genres, gens, différences culturelles ne faire qu'un seul ensemble de gens lors de nos diverses assemblées générales que nous fessions comme aussi un moment de rencontre et de fête qui permettez à tous d'enfin se rencontrer et d'échanger des points de vues.
Après avoir cité quelques émissions de genre musicales en voici deux autres (entre autres) qui ont vu ici des personnalités difficiles d'une certaine manière s'épanouir le temps de leur émission.
Que ce soit avec le fameux et mémorable "Éric show" du lundi soir (18heures - 18heures) ou des "Balfagars" des fins de matinées de nos dimanches (11 heures - 13 heures).
Ou cette autre, encore qui rendez-vous compte venais de Caen en train avec son attaché-case plein de ses cd de chez "Narada" et qui officié sur le créneau "new âge" la passion des hommes les pousse loin non ?
Je n'eus aucune réticence à accueillir celui-ci vue l'effort qu'il fit tous les vendredis venir de Caen en train que pour deux heures d'antenne et bien mec bravo (rire).
Oui, de mémoire d'animateur peut, je vous le dis, aurons cette envie si taraudante visée au corps, que et bien bravo et salut l'ami Matthias (son pseudonyme).
Ou "Marcus" fada de reggae qui viendra tous les 15 jours (d'Évreux en train ou que sont père déposeras celons, rire) oui, celui-là nous en fit voir de sacré (le vendredi enfin d'après-midis en alternances avec l'émission punk).
Après, pour ma part tout du moins (et pour, la encore, avoir mixée leurs émissions aux moins une fois si ce n'est pas toutes) je me sentais bien d'avoir permis à certains d'avoir pu exister un temps au sein de notre équipe.
Nos studios ne seront pas ce que l'ont pourrais dire pourvues d'accès facilitant l'accessibilité aux handicapes lourds, j'entends par la en fauteuil ou à pénibilité pour monter/descendre des escaliers, etc.
Ceux aussi avec des élocutions difficiles trouvées ici de quoi "se sentir comme tout le monde".
Pour preuve certains bégaiements lourds et/ou tocs des plus gênent disparaitrons le temps de l'émission temps leurs esprits se focalisé alors sur l'action du fameux "Dire" radiophonique.
Certain aurons pour ceux la une attitude paternaliste ou du genre (la main sur l'épaule et le sourire facile) "grâce à nous voyais vous vous exister" d'une certaine manière et ses attitudes la je ne les trouvais et ne trouve toujours pas seine, mais bon, ils furent si peux que la sympathie qui liées l'ensemble dépassé cela.
J'ai vue une fois un des animateurs membre du bureau exécutif me mettre la main sur l'épaule en disent en gros "Hé l'emmené pas celui-là" et de ce faire répondre toujours de mémoire "si nous devions confondre ce ne serait pas lui que nous emmènerions" belle petite cassure non (rire).
Et voilà mes amis, l'un des buts principaux de "ONDES FMR" réussie.
Oui, mélangé tous ceux-là par pur et simple plaisir de la communication des êtres et montrer par la qu’eux aussi était capable de vivre en société et pour quelques-uns de savoir manipulé l'outil technique que représenté une radio (je sais, nous ne serons, et heureusement d'ailleurs, pas la seule radio en France à faire ce travaille la et ses tant mieux).
Je revois aux jours d'aujourd'hui certains de ceux-là qui ont toujours le "bonjour" en bandoulières, j'ai appris aussi que d'autres sont décédés, ou partirent ailleurs.
La vie et la qui et mouvante pour tous s'en exception aucune (comme la mort qui et pour tout un chacun inéluctablement).
Voilà, je voulais saluer par cet article (humble article) tous ceux et toutes celles qui ont fait un temps partie des Ondes FMR et qui m’ont frappé par leurs sympathies simples et respectueuses (mais aussi parfois très envahissante aux points de les remettre gentiment à leurs places).
Photographie : "Paris, 5ème" par mainblanche avril 2005.
Aucun lien internet pour cet article.

Commentaires