La voix, voie, importance capitale ou juste truc en plus ? (2ème partie et fin)...

Celles-là m'aurons tout de même permis alors de tester mes connaissances intellectuelles en devenir et de m'initier aux rudiments de la technique, du mixage et de construction d'une émission de radio.
Ce qui par la suite me permettra de transmettre à mon tour mes balbutiants acquis.
"RVS" sera la première qui me verra postuler au sein de leur équipe.
En effet, c’était couru d'avance, mais "qui ne tente rien n'à rien" dit le proverbe.
1 - Je n'avais alors que des points négatifs (rire) voyais plutôt, j'habité à Bernay ville située à 80 kilomètres de Rouen.
2 - je mis rendait en stop.
3 - je ne parler pas un mot d'Anglais.
Donc, lors de mon passage test dans leurs locaux je remplissais dans un premier temps, assis à la table ronde de leur studio principal un questionnaire (dont je ne me rappelle plus du tout le contenue, rire) ceci dans l'espoir de faire parti des leurs.
Ensuite, ont me fit descendre au sous-sol ou ont me mis devant un équipement de Dj et, me dit-ont, "Alors voila, tu à 15 minutes pour enregistrer ta maquette".
Il est évident que ma candidature ne fut retenue.
Donc, mon idée d'alors se confirma.
Ceux-là alors souhaité n'avoir que des beaux gars en costumes trois-pièces, d'un mètre 80 charmeur voix suave et sensuelle sorte de Michel Drucker – gendre idéal des femmes de plus ou moins 50 ans de la région (rire), etc.
Il fallait aussi avoir "LA" voix.
Tout comme pour bosser à "NRJ", "Skyrock" et consorts, oui, il faut avoir la "The voice" (la voix).
Si je ne travaillasse point aux seins (cœurs) de ses radios d'alors, je pus tout à loisir y participer entends qu'inviter et/ou animateurs d'un soir.
Je me souviens d'une radio en agglomération de Rouen ou je fusse invité après un quelconque concours, que j'avais gagné, et ou je parlais alors d'un groupe de new-wave - reggae commercial (culture club) durant 1 heure dans le cadre d'une émission ou il y eut plusieurs chroniqueurs.
Oui, Quel plaisir, quelle jouissance j'ais pus vivre alors.
Ma mère et mon frère furent les premiers à entendre mes débuts balbutiants sur les ondes, debout et assis qu'il fût dans la salle de bain de notre appartement.
Bref, sur ce fait, l'aspect physique enfin ne sembler avoir chez ceux-là aucun intérêt.
"Ouf" me dis-je alors en moi-même "Ont peut-être animateur de radio s'en qu'ont nous jugeâtes sur nos aspects physiques" (rire).
Donc la voix.
Oui, la voix, pour revenir sur la voie initiale de cet article (rire).
La voix.
Nous pourrions nous poser alors la question suivante :
"Une voix radiophonique qu'est-ce ? ".
Alors, il y a trois grands aspects pour définir, du moins, tenté de définir ce qu'elles peuvent être :
1 - les voix naturelles qui sonnent bien d'office, et qui sont celles que l'ont aiment entendre et avec lequel ont aiment-être bercer (chauds apaisants, vagues souvenirs familiaux).
2 - les voix que l'on éduque, travaille, construit de toutes pièces (entre mauvaises imitations d'un artiste ou fabriquer de toute pièce avec des accentuations sur des mots pitoyables, rire, ect).
Enfin :
3 - les voix théâtrales.
Celles qui sonnent encore une fois comme d'un fait magique extraordinaire.
Pour les avoir soit rencontrés et/ou interviewés, je dis que ses messieurs ont un don de voxographie certains, innés mêmes.
"Jean Topard" - "Mickael Lonsdale" pour ne citer qu'eux deux.
Pour moi leurs travaille sur leurs voix en ont fait des "THE VOICES" (les voix).
Voila, alors ou classer, comment quantifiait la qualité de nos voix, humbles voix parmi ceux-là et sur quelle échelle se basent-ont ?
Je l'est dit dans un article passé, sous la demande d'un de nos animateurs et permanents d'alors, M. T.J.P (qui œuvras dans des radios et studios d'enregistrement de qualités professionnelles), et pour le plaisir de H.D entre autres et bien celui-là disséquât comme cela les voix diverses et variées qui divaguer sur les Ondes FMR.
Sont analyse fut net, franche, précise voir rude et brutale et en blessât quelques-uns.
Mais bon, il est vrai que j'ai pu moi aussi entendre des voix qui porter à croire que ce ne fut pas la voie qu'il devait prendre pour leurs avenirs dans la communication (rire) ?
La finalité de ces évaluations eut pour rôle (enfin, c’est comme cela que je le visse sur le moment) :
1 - Flatter l'égo de celui qui était l'initiateur de la demande.
2 - Tenter, tant que faire se pouvait, de trouver ainsi un équilibre pseudo vocale avec une linéarité de ton.
Premier pas vers une pseudo professionnalisation de notre outil radiophonique.
Ce vers quoi je ne souhaiter pas (et nous fûmes quelques-uns) que notre radio alla.
Pour moi, sauf en de rares cas, la voix ne fut pas un critère d'acceptation ou de refus, mais plutôt le projet que la personne porter en elles et réussissait à transmettre avec émotions.
Vous savez ont ne s'improvise pas animateurs (trices) de radio comme cela.
Donc, les voix douces, flottantes, berçantes, aériennes, bas oui c’est pas mal quoi, mais bon !
Le tout était en priorité (toujours d'après moi) de savoir la posé, la porter, avoir le ton juste sans défaillance en de perpétuels raclements de gorges à la moindre pose musicale (outres certaines personnes qui aux vues de leurs âges ou de problèmes de santé avais alors les cordes vocales usées et-ceux naturellement).
Alors, nous eûmes des voix de tous les styles autant que nous eûmes de personnalités différentes je sais, cela vous paraît banal à dire, mais ses un constat, ses tout.
Alors, il eut était intéressent de voir que derrière la voix que nous entendions sur les "Ondes FMR" dans les différentes émissions le visage et/ou l'aspect physique ne refléter en rien l'un et l'autre (rire).
Et pour avoir connue de "visu" comme l'ont dit toute ou partie des animateurs de la radio dans ses 20 ans d'existences, je peux vous dires que certains d'entres vous aurait était bien surpris et en bien cela va de sois (rire) de mettre un visage sur une voix.
Pour ma pars il y à eus deux animateurs phare qui ont était en quelque sorte les déclencheurs de ma passion viscérale pour la radiophonie.
Il s'agit et je l'est en remercie ici, messieurs "Yann Egan" et "Jean Claude Laval" (tout deux animateurs des nuits d'Europe numéro 1 dans la fin des années 1970).
Il faut savoir ici que je rêver rien qu'aux sons de leurs voix à se sublime métier de radoteurs (rire).
Et comme j'eus l'imaginaire toujours en éveil lorsque je les vis physiquement je fus étonner, car je trouver sur le moment que la voix n'aller pas avec le corps.
Ensuite, il y en aura deux autres avec "Alain Manneval" (Europe numéro 1 toujours, rire) et un autre sur France inter qui en chevauchant une moto jouera les Philippe Deudieuleveux radiophoniques en allant toquer chez des gens (différents chaque soir) soit-disent ordinaire et nous immergé alors littéralement dans un ailleurs merveilleux.
La, le rôle de la radio prenait pour moi tout sont ampleur.
Ceux-là avais de sacrées voix, et ses de ces concepts, de cette idée la que je parle quand je dis "voix de radio".
Sur l'autre versant du même mot "voix", je développerais dans un prochain article le sens "voix sociétale, voix politique", ect.
Photographie : "Bouche & micro" photographie trouver sur Google notre ami poster par le microphone fou mai 2008 ©®
Voici un lien internet qui ouvre des pistes sur la voix en radio :
http://www.esj-lille.fr/spip.php?article361
Voici un second lien internet sur le même thème :
http://www.cfpj.com/cpj/formations/radio/perfectionnement/travail-de-la-voix-0

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