La radio pour qui à une once de curiosité en lui (elle) bien placée et un vivier comme peut l'être aujourd'hui internet.
En cela je veux dire que pour celui qui comme moi il y à vingt ans avais une culture basic de ce que m'offrait les autres médias (dont j'ai déjà via quelques références à mon passé personnel).
Et bien la, avec ce brassage de gens, même si nous ne seront jamais de vrais amis et que l'ont se diras avec franchises les aversions et/ou vrais sympathies que nous portions les uns vers les autres et bien avec eux j'ai appris et j'ai aussi surtout ouvert mon esprit aux quatre vents de la culture mondiale.
Vivier, puits de savoir à porter de clique dis-es-je ce qui ouvre l'envie de découvrir plus facile.
Alors qu'aux débuts des Ondes FMR il me fallait en quelque sorte tout faire.
Me construire, oui, voila ce qu'il me fallait faire, me construire tout seul s'en l'aide de personnes.
En ne content même pas sur l'œil fier des uns ou des autres de l'équipe comme de grands frères qui serait fière de votre soif de savoir.
Ma famille sera d'une certaine manière heureuse pour moi de tout ce que je pouvais apprendre.
Mais nous attendons toujours beaucoup plus des autres, car nous savons pensons nos proches amis famille acquise à nos causes tandis qu'autrui, ceux, tous ceux de l'anonyme, ceux que je rencontrerais aux files des années passées au sein de cette radio locale la pour ce fait ce fut à mes yeux très importent.
Parfois ont me donneras le compliment pour le travail effectuait avec tels ou tels artistes ou telles ou telles personnes reçues au studio et interviewées par moi (ce qui coûtera à certain de me dire "Ah ! Ho faite les griots de l'autre fois te remercient et te disent bravo et merci pour la teneur de ton émission avec eux", d'autres "J'ai entendu votre émission sur tel artiste que je connais bien bravo pour l'analyse du personnage bien vue", etc.…
D'autres, à l'extérieur, par exemple des auditeurs me dirons leurs sentiments et félicitations pour tels ou tels de mes émissions réalisées.
N'est-ce pas aussi vers cela que nous tendons lorsque nous œuvrons dans ces métiers de la communication ?
Faut-il en avoir honte ?
En cela je veux dire que pour celui qui comme moi il y à vingt ans avais une culture basic de ce que m'offrait les autres médias (dont j'ai déjà via quelques références à mon passé personnel).
Et bien la, avec ce brassage de gens, même si nous ne seront jamais de vrais amis et que l'ont se diras avec franchises les aversions et/ou vrais sympathies que nous portions les uns vers les autres et bien avec eux j'ai appris et j'ai aussi surtout ouvert mon esprit aux quatre vents de la culture mondiale.
Vivier, puits de savoir à porter de clique dis-es-je ce qui ouvre l'envie de découvrir plus facile.
Alors qu'aux débuts des Ondes FMR il me fallait en quelque sorte tout faire.
Me construire, oui, voila ce qu'il me fallait faire, me construire tout seul s'en l'aide de personnes.
En ne content même pas sur l'œil fier des uns ou des autres de l'équipe comme de grands frères qui serait fière de votre soif de savoir.
Ma famille sera d'une certaine manière heureuse pour moi de tout ce que je pouvais apprendre.
Mais nous attendons toujours beaucoup plus des autres, car nous savons pensons nos proches amis famille acquise à nos causes tandis qu'autrui, ceux, tous ceux de l'anonyme, ceux que je rencontrerais aux files des années passées au sein de cette radio locale la pour ce fait ce fut à mes yeux très importent.
Parfois ont me donneras le compliment pour le travail effectuait avec tels ou tels artistes ou telles ou telles personnes reçues au studio et interviewées par moi (ce qui coûtera à certain de me dire "Ah ! Ho faite les griots de l'autre fois te remercient et te disent bravo et merci pour la teneur de ton émission avec eux", d'autres "J'ai entendu votre émission sur tel artiste que je connais bien bravo pour l'analyse du personnage bien vue", etc.…
D'autres, à l'extérieur, par exemple des auditeurs me dirons leurs sentiments et félicitations pour tels ou tels de mes émissions réalisées.
N'est-ce pas aussi vers cela que nous tendons lorsque nous œuvrons dans ces métiers de la communication ?
Faut-il en avoir honte ?
nos curiosités ainsi sont quelques pars vue et reconnues.
Certains brillent ici d'autres la, moi, j'aurais humblement essayais de brillait dans cette radio.
Moi (je sais, cela fait grave nombriliste, mais après tout ceci et un blog centré sur mes souvenirs et expériences dans cette radio donc voila, rire).
Oui, moi, disais-es-je, parfois on me reprochera cette volonté, cette soif de savoir comme de celui qui veut alors briller partout en s'intéressent à tous.
Ou aussi, m'intéresser à tous semblé peut-être pour ceux-là, naitre d'une volonté d'empêcher certains autres de faire, réalisé tels ou tels reportages et/ou émissions ?
Je le répète, j'étais l'un de ceux qui avais quasiment 8 -10 heures par jours à donner à cette radio.
Alors ici, peut-ont, à t'ont le droit de me l'interdire ?
Mes passions naîtront de mes découvertes, de mes rencontres avec tous ceux et celles qui œuvreront pour la culture et dieu sais si en 20 ans de radio j'en et rencontrer des gens.
Lors de mes débuts ce fut les quatre coins de la ville que j'écumée sans arrêt le magnétophone "Philips" (je crois) en bandoulière et le micro "LEM" à la main.
Puis vinrent la région, haute et basse Normandie puis d'autres coins de France.
Et plus j'avancé dans l'âge et dans mes pérégrinations culturelles, intellectuelles plus elles devenaient passionnantes, enivrantes et plus je devenais exigent envers tous ceux, acteurs à une quelconque échelle de ce qui faisait la culture.
Et à l'heure d'aujourd'hui, je ne supporte plus une once de médiocrité ou de pâle copie non.
Je ne veux que du bon, du professionnel, de la qualité (rire).
Je sais aussi qu'ils leurs faux tout commencé petit avant de devenir des gens de haut vol, mais je n'et plus ici la patiente d'antan.
Pourtant j'en et vue naitre des groupes et/ou artistes de tout poil, bords, genres, etc.
Oui, j'en et soutenue bon nombre d'entre eux.
Quelques-uns sont devenus dignes de leurs arts, d'autres végètent toujours dans des rêves comment dire, qui n'existent plus que dans leurs têtes, tant ils ont usé les patiences et envie de soutient temps financiers (pour certains) que promotionnelle (pour ma pars).
Je me suis aussi parfois, époumoné pour certains en les soutenants, leurs donnant (essayant du moins) confiance en eux.
Les invitants a moult repris dans diverses émissions pour qu'il parle de leurs travaux, etc.
Et alors !
Ah, ah, ah, et bien si cela était mon rôle d'animateur, de journaliste (amateur) et bien sachez que je l'ais fait s'en rechigner, la passion chevillée au corps.
Même si je m'entendre dire parfois par l'un d'eux à ma question "pourrais-je participer à ta rencontre avec la presse pour voir comment il procède" lorsque je lui avais préparé un rendez-vous avec la presse pour les besoins de son actualité d'alors je m'entendis répondre alors "Et bien écoute ci cela peut te faire moussé oui vient", mais pour qui me prit-ont alors, oui, leurs semble-es-je être un arriviste ?
Des deux, dites-moi qui avaient à l'époque le plus besoins de se faire "moussé" comme l'ont dit ?
Alors, aujourd'hui je vis, assume mes goûts et n'en déroge pas.
Non, je ne renie pas ma vision d'alors qui et (outre son évolution) rester la même qui veut que j'en et mare du surfait, du sous produit avec appellations "culture" à toutes les mauvaises sauces.
Je ne veux plus faire semble et je tends alors vers ce que, comme l'ont dit, être "le meilleur".
Certains brillent ici d'autres la, moi, j'aurais humblement essayais de brillait dans cette radio.
Moi (je sais, cela fait grave nombriliste, mais après tout ceci et un blog centré sur mes souvenirs et expériences dans cette radio donc voila, rire).
Oui, moi, disais-es-je, parfois on me reprochera cette volonté, cette soif de savoir comme de celui qui veut alors briller partout en s'intéressent à tous.
Ou aussi, m'intéresser à tous semblé peut-être pour ceux-là, naitre d'une volonté d'empêcher certains autres de faire, réalisé tels ou tels reportages et/ou émissions ?
Je le répète, j'étais l'un de ceux qui avais quasiment 8 -10 heures par jours à donner à cette radio.
Alors ici, peut-ont, à t'ont le droit de me l'interdire ?
Mes passions naîtront de mes découvertes, de mes rencontres avec tous ceux et celles qui œuvreront pour la culture et dieu sais si en 20 ans de radio j'en et rencontrer des gens.
Lors de mes débuts ce fut les quatre coins de la ville que j'écumée sans arrêt le magnétophone "Philips" (je crois) en bandoulière et le micro "LEM" à la main.
Puis vinrent la région, haute et basse Normandie puis d'autres coins de France.
Et plus j'avancé dans l'âge et dans mes pérégrinations culturelles, intellectuelles plus elles devenaient passionnantes, enivrantes et plus je devenais exigent envers tous ceux, acteurs à une quelconque échelle de ce qui faisait la culture.
Et à l'heure d'aujourd'hui, je ne supporte plus une once de médiocrité ou de pâle copie non.
Je ne veux que du bon, du professionnel, de la qualité (rire).
Je sais aussi qu'ils leurs faux tout commencé petit avant de devenir des gens de haut vol, mais je n'et plus ici la patiente d'antan.
Pourtant j'en et vue naitre des groupes et/ou artistes de tout poil, bords, genres, etc.
Oui, j'en et soutenue bon nombre d'entre eux.
Quelques-uns sont devenus dignes de leurs arts, d'autres végètent toujours dans des rêves comment dire, qui n'existent plus que dans leurs têtes, tant ils ont usé les patiences et envie de soutient temps financiers (pour certains) que promotionnelle (pour ma pars).
Je me suis aussi parfois, époumoné pour certains en les soutenants, leurs donnant (essayant du moins) confiance en eux.
Les invitants a moult repris dans diverses émissions pour qu'il parle de leurs travaux, etc.
Et alors !
Ah, ah, ah, et bien si cela était mon rôle d'animateur, de journaliste (amateur) et bien sachez que je l'ais fait s'en rechigner, la passion chevillée au corps.
Même si je m'entendre dire parfois par l'un d'eux à ma question "pourrais-je participer à ta rencontre avec la presse pour voir comment il procède" lorsque je lui avais préparé un rendez-vous avec la presse pour les besoins de son actualité d'alors je m'entendis répondre alors "Et bien écoute ci cela peut te faire moussé oui vient", mais pour qui me prit-ont alors, oui, leurs semble-es-je être un arriviste ?
Des deux, dites-moi qui avaient à l'époque le plus besoins de se faire "moussé" comme l'ont dit ?
Alors, aujourd'hui je vis, assume mes goûts et n'en déroge pas.
Non, je ne renie pas ma vision d'alors qui et (outre son évolution) rester la même qui veut que j'en et mare du surfait, du sous produit avec appellations "culture" à toutes les mauvaises sauces.
Je ne veux plus faire semble et je tends alors vers ce que, comme l'ont dit, être "le meilleur".
Oui, ce que se "meilleur" peut m'offrir de ce qui et, le reste ma foi pour ma par s'en les mépriser n'à plus grand intérêt.
Car, je ne les méprise pas ici, loin de moi cette idée, non.
Pour moi tout travail même le plus nul (entre guillemets) mérite le respect tant sont auteur y à mis de son cœur, non ?
Car, je ne les méprise pas ici, loin de moi cette idée, non.
Pour moi tout travail même le plus nul (entre guillemets) mérite le respect tant sont auteur y à mis de son cœur, non ?
Mais alors, "ma" curiosité serait-elle tarie ?
c'est ce que vous pourriez-vous penser mes amis.
Non (rire), rassurer vous elle et toujours vivace, en éveille, aux aguets.
Alors donc, voilà qu'aujourd'hui ce qui n'est pas digne de ce qui me plaît, me chamboule, m'émeut (aux larmes parfois) n'à plus alors aucun intérêt.
Photographie "Par le petit trou de la serrure" par Lemoox avril 2007 ©R.
Alors donc, voilà qu'aujourd'hui ce qui n'est pas digne de ce qui me plaît, me chamboule, m'émeut (aux larmes parfois) n'à plus alors aucun intérêt.
Photographie "Par le petit trou de la serrure" par Lemoox avril 2007 ©R.
Aucun lien, pour cet article ou alors il n’y en aurait que trop (rire).
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