Alors, nous décidâmes de réarranger les locaux que l'ont nous louées pour l'adéquation avec l'outil qui devenais le notre.Le contrat de location entre la mairie et nous était le suivant, faire la promotion radiophonique des activités tous azimuts que la commune organiserait outre évidemment un loyer comme pour toute locataire.
Alors nuls grands plans d'architectes pour cette réhabilitation-là, non.
Travaux basés sur ceux qui d'entre nous avais déjà acquis (si petites soit-elle) des expériences dans le domaine.
Ceux las alors, partagée leurs connaissances et osèrent donc faire des propositions d'ergonomie et de structuration des locaux.
Cela se passera en deux tranches.
1 – études, divers devis et installation du matage et haubanage du mat supportent l'antenne.
2 – études, divers devis et montage et construction des équipements de radiodiffusion.
Donc, un grand grenier dans lequel se trouver un petit placard d'un mètre sur un mètre allé accueillir l'émetteur, le gros du câblage et les archives éventuelles et futures.
Nous allions jouir du dernier étage de cette maison bourgeoise des années 1900-1920 avec un premier escalier puis un palier et enfin un second escalier nous mené au paradis (rire).
Arriver en haut de ce second escalier la 1er porte à droite donnée dans ce fameux grenier.
Sur la gauche ce trouver une seconde pièce qui nous servira de bureau et de salle de réunion entre les deux pièces de coté faisait face a nous un troisième porte ses ici que nous décidâmes de faire "le studio".
Entre le bureau et le studio, nous avions aménagé un petit coin-bar convivial.
Oui, nous passion commande à un dépositaire local d'alcool et jus de fruits quelques caisses de boissons (que nous faisions payer aux membres de la radio entre 1 et 2 francs si je me souviens bien la bouteille et/ou cannette sans alcool) afin que nos animateurs et invitées puissent par temps chauds se désaltéré et par temps hivernal y boire un bon du café chaud, etc.
Donc, peinture, tapisserie, pose de linoléum style hall d'accueil ect tous les couleurs et ambiance choisie en conseil d'administration dans la plus pure loi du vote à main levé (rire).
Après, le plus gros œuvre sera l'aménagement du studio en lui-même.
Waouh.
Donc, partage de la pièce en deux gros blocs.
Le 1er sera la régie
Le second le studio.
Nous montrons donc un mur comme tous les murs, faits de gros tasseaux et plaques aux plâtres (heureusement que le président d'alors eut était bricoleur avertie, oui, il eut dans le même temps rénové sa maison donc ses grandes connaissances en la matière nous aidèrent fort bien.
Donc, nous montâmes ce mur avec en son centre un endroit prévu pour y placer une plaque de verre.
Nous trouverons dans un dépôt-vente une porte vitrée de 2 mètres environ sur 2 cm d'épaisseur qui fera alors très bien l'affaire.
Une certaine étanchéité, pour notre cas une étanchéité sonore s'entends sera des plus utiles.
Dans la partie qui sera le studio ou nous officierons en tant qu'animateurs ou nous recevrons pléthores de gens tant artistes qu'anonymes associations diverses et variées ect, ect, etc.
Donc, moquette mouchetée du sol au plafond avec une porte en bois épaisse comme je n'en avais jamais vu alors, oui, rendez-vous compte 10 centimètres d'épaisseur (rire).
Donc dans l'autre parti nous construisîmes une superbe table d'angle en bois laqué blanc qui supportera deux platines vinyles "techniques" (encastrée), une table de mixage "3 XXX", deux platines cassettes "Marantz", deux platines cd "Sony" et un vieux magnétophone à bande pour l'enregistrement de nos programmes (dont la marque m'échappe).
Sur le mur qui faisait face à la baie vitrée avais était peint par les petits amis des membres du bureau une fresque de 2x2 représente un pianiste et un saxophoniste en queue-de-pie noire sur fond blanc.
Des enceintes dites de retour étaient installées à chaque angle de cette console et dans le studio.
Dans le studio encore nous avions construit un pied de table en fer (avec la participation je crois du Lycée Clément Ader) et avions opté pour une table ovale point ronde ou carrée, non, ovale.
Cela permettez de ce la joué chevalier de la table ovale (rire).
Sur celle-ci nous avions percé sur le montant de la table un trou dans lequel nous passion les câblages des micros et casques au nombre de deux paires de 5 éléments qui aux files du temps changerons de marques (Shure - BST) et d'ergonomie.
Le tout fut installé en janvier et mis février 1986 par un homme dont la qualité technique laisser alors à désiré, car lui aussi sembler sur le coup bien amateur dans cette affaire la.
Nous fûmes s'est vraie dans cette période la vraiment amateurs (rire).
Nous opterons quelque temps plus tard pour le suivie technique de notre radio par la société "Visuel" qui eux avais déjà fait leurs preuves en la matière maintes fois et était alors les seuls professionnels de la région proche de Bernay (clins d'œil ici à l'ami Jean-Marc).
L'autre grosse mise en œuvre sera la pose de l'antenne et de sa connectique à l'émetteur que nous avions installée dans une petite pièce du grenier dans laquelle nous avions cloué - agrafer des plaques d'aluminium étanche sur les murs pour éviter la dissipation des ondes avec un vasistas toujours entrouvert pour une fluidification de l'air frais.
A savoir que l'hiver nous nous gelions comme pas possible et que l'été nous, comme l'ont dit, crevions de chaleurs.
"Je me souviens" (comme l'écrivais G. Perec) de l'émotion que j'avais en regardent par le vasistas du grenier ses hommes monter sur le mat faire le haubanage et enfin laisser descendre le gros câble noir de l'antenne qui s'enrouler sur le parquet et que l'ont amenât jusqu'à l'émetteur.
Ça y est ses branchés ?
Oui s'est bon.
Premier allumage, quelques diodes vertes, rouges, premières aiguilles des vues mètres qui oscillé et enfin grand moment d'émotion pour ma pars (rire).
Le fameux calage de fréquence qui se faisait à l'aide avec 4 mollettes que nous calions fébrile sur les chiffres magiques du "96.09"…
Quoi ?
Un peut de patience, mais amis, je vous raconterais la suite dans les prochains articles (rire).
Photographie : "Maison de la radio" (comme nous l'appelions) vue de dehors cotée village (la photo de l'article précédent étant une vue prise cotée route d'Orbec par le microphone fou mai 2008 ©®.
Commentaires