La passion des gens qui deviendras le thème d'une émission (2ème partie)...




Oui, après avoir regardé si rien ne nous manquer et avoir révisé nos notes en leurs apportent quelques modifications de l'instant et/ou avoir attendue patiemment soit lové dans les chauffeuses du bureau ou entre café et/ou pause cigarette.
Nous passions alors d'une pièce l'autre et poussions ainsi la porte (comme l'ont ouvrit un coffre magique) de la régie uniquement lorsque la lampe rouge passer au vert (signe que l'émission était finie) et donnions nos dernières indications au technicien en lui tendant notre sac (pour les plus simple et porte disques pour les plus minutieux d'entre nous, rire) de disques en disant "tiens, voilà ma programmation dans l'ordre".
Nous avions eus sous l'initiative d'un des animateurs (ma mémoire me fait encore ici défaut, rire) une feuille format A4 que nous nommions "Play list" avec comme entête le logo de notre propre émission, ce qui les personnalisas avec forte sympathies (1).
Alors, à vous de commencer le boulot (en tant que technicien de l'émission) car le compte à rebours avait commencé (rire) donc, calage du générique, calibrage de la voix de celui, celle qui œuvreras au micro.
La préparation (calage) des deux premières chansons, sembler déjà quelques peut stresser le technicien.
Tandis que l'animateur lui, nonchalamment aller prendre tranquillement sa place devant le micro.
Il et vrai que le rôle d'animateur radio et quelques peut plus passif que celui de technicien même si l'un et l'autre sont assis (rire).
Vous savez conforter et révisé la lecture de ses notes ce racler la voix hors micro tenir le fil et enfin bien déclamer son texte voila le rôle d'un animateur.
Sur le travaille du technicien lui j'ai déjà dans d'autre article sur ce même blog décrit son rôle.
Lorsque l'un et l'autre était enfin près, nous toquions du doigt sur la vitre en disant "Attention, 5, 4, 3, 2, 1, antenne"….
Ce qui est drôle ici en fait, ses de voir que certains animateurs (trices) avais leurs petites habitudes, et petites places attitrées (en toutes convivialités).
L'un s'était la fenêtre dans le dos face directe avec la régie, un autre ce placer de trois cars (dos) à la vitre, ou celui-là, le dos au mur (droit du studio) ayant ainsi à la fois la fenêtre et les portes à porté de vue.
Pour ma part et selon l'ambiance, toutes les places me sciaient bien, tant que j'eus un casque et un micro devant moi (rire).
Alors, nous étions tous amateurs et quelques pars heureux (pour certain j'entends) d'être la et de vivre des moments qui marqueront nos esprits à jamais.
Car, lorsqu'il m'arrive parfois de recroiser des anciens de la bande avec qui je parle quelques minutes et ont à toujours inévitablement un ou deux propos et/ou souvenirs à s'échanger, quand d'autres aurons tourné la page de cette expérience définitivement.
Bref, je crois que les paroles de cette chanson illustre bien l'ambiance qu'il y avait alors dans cette sacrée radio :
"C'est une maison bleue Adossée à la colline On y vient à pied, on ne frappe pas Ceux qui vivent là, ont jeté la clé On se retrouve ensemble Après des années de route Et l'on vient s'asseoir autour du repas Tout le monde est là, à cinq heures du soir…" (1).
"San Francisco" Maxime Le Forestier.
Photographie : "Play-list Ondes FMR" par le microphone fou en mai 2008© ®.
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