Dans cet article je vais tenter de vous décrire la seconde phase de notre travail.
Qui est la suite logique de la réhabilitation des locaux, je veux parler de celle plus technique et humaine.
Et ainsi, il nous fallait maintenant nous initier à la conception d'émission.
Je sais, cela semble vous parait un peut obscure, mais il ne suffit pas de s'assoir devant un micro et ses tout.
Donc, nous trouvâmes immédiatement la parade, dans le sens que nous passions tous par une série de sessions d'initiations tant aux mixages, calages de disques 30cm - 45 t, cassettes audio, pour les cd se fut alors bien plus facile il nous fallait appuyer sur le morceau choisi et appuyé sur le bouton "pose" (rire).
Le calage des 30 cm fut moins aisé, en effet je vous explique la seule technique ci-dessous :
Alors, vous prenez le 30 cm deux doigts sur le centre et le pouce calés sur la tranche puis vous le poser sur la platine jusque-là rien de bien effrayant (rire).
Ensuite, vous posiez le bras de la platine sur le morceau de votre choix et voilà, ah, ah, ah, mais non ensuite à l'aide du casque vous faisiez tourner (dans le sens des aiguilles d'une montre) le disque manuellement jusqu'au premier bruit de la chanson.
Une fois cela fait vous partez de la gauche près de l'interrupteur allumez en rouge pour revenir jusqu'à la petite veilleuse à la mis droite ses touts (ceci dans un geste dans le sens inverse des aiguilles d'une montre). (1).
Ensuite, il ne vous suffisait plus que d'appuyer sur le "starter" et de lever le curseur de la table de mixage et là, la chanson était diffusée.
Nous n'avions pas comme d'autre l'auto starter ce qui fait que votre calage effectuais de la simple levé du curseur votre disque démarrer tout seul.
Donc après une période de gestion générale tout le monde ou presque avait compris les bases essentielles du mixage.
Ensuite, un autre point important l'utilisation du micro.
Des choses basics, mais si importante, ne pas en parlent crachoter sur le micro (rire) même si celui-ci est pourvu d'une bonnette anti vent.
Ceci à fin d'éviter les postillonages (hygiène oblige) et autre mot avec des consonances telles que tous ses "che", "pe" et quelques autres.
Ne pas parce que l'ont à un casque sur les oreilles (s'il à une bonne acoustique) criée cela ne sert à rien le technicien réglera la puissance du micro depuis sa console.
Ne pas coller ses lèvres, mais laisser un bon écart entre la bouche et le micro.
Un truc tout simple, mémo technique même, vous placer à la verticale de votre bouche votre main sur le profil de celle-ci entre vos lèvres et le micro lui-même ce qui fait que 4 doigts sont alors nécessaires pour une bonne transmission du son de la voix vers ma membrane du micro.
Ensuite, trouver comment poser sa voix, ne pas trop hurler, ni ne trop chuchoter, mais avoir un débit de voix normale fluide et légèrement forcer en parlant quelques pars du ventre, voila je crois une bonne recette (ci des amis en ont une autre ou estime que mes descriptions sont pas valables alors à vos plumes, rire).
J'ai, pour ma pars quasiment fait tout, tout seul, sauf à une période d'une année, voir deux ou la j'ai eus un technicien amateur hors paires.
Oui, celui-ci avait compris l'essence même de ma vision et de mon travail radiophonique.
Nous étions alors devenus complice et amis, alors techniquement pour vous dire, je n'eus même plus à lui faire signe avec levé de doigt en sa direction pour lui faire signe d'envoyer tel ou tel disque tant il connaissait le ton de ma voix et sentez ainsi la fin d'une phrase.
Une fois, oui, une seule et unique fois dans ma vie j'ai connu cela, plus jamais je n'est revécue cela, alors merci, oui, milles mercis à toi l'ami Pascal G.
Je fus aussi le technicien de quelques autres émissions, j'ai dû en mixer quoi, une bonne dizaine par semaines.
Mes explications peuvent ici vous sembler naïves, mais tout a un début et voilà.
Quant à celles et ceux qui ont comme moi vécu tout cela se ne sera pas non plus s'en leurs rappeler de joyeux souvenirs, non ?
Chacun de nous avec plus ou moins de savoir et de faciliter y passât.
Nous nous sentions comme lors d'un examen légèrement (s'en l'avouer) fébrile voir hésitant, mais nous furent alors tous sur le même niveau à ce moment la.
(1) Voir lien internet ci-dessous pour avoir une idée.
Photographie : trouver sur internet.
Voici un lien internet photographique pour illustrer mon propos du calage de disque :
http://img3.musiciansfriend.com/dbase/pics/products/7/8/4/291784.jpg
Qui est la suite logique de la réhabilitation des locaux, je veux parler de celle plus technique et humaine.
Et ainsi, il nous fallait maintenant nous initier à la conception d'émission.
Je sais, cela semble vous parait un peut obscure, mais il ne suffit pas de s'assoir devant un micro et ses tout.
Donc, nous trouvâmes immédiatement la parade, dans le sens que nous passions tous par une série de sessions d'initiations tant aux mixages, calages de disques 30cm - 45 t, cassettes audio, pour les cd se fut alors bien plus facile il nous fallait appuyer sur le morceau choisi et appuyé sur le bouton "pose" (rire).
Le calage des 30 cm fut moins aisé, en effet je vous explique la seule technique ci-dessous :
Alors, vous prenez le 30 cm deux doigts sur le centre et le pouce calés sur la tranche puis vous le poser sur la platine jusque-là rien de bien effrayant (rire).
Ensuite, vous posiez le bras de la platine sur le morceau de votre choix et voilà, ah, ah, ah, mais non ensuite à l'aide du casque vous faisiez tourner (dans le sens des aiguilles d'une montre) le disque manuellement jusqu'au premier bruit de la chanson.
Une fois cela fait vous partez de la gauche près de l'interrupteur allumez en rouge pour revenir jusqu'à la petite veilleuse à la mis droite ses touts (ceci dans un geste dans le sens inverse des aiguilles d'une montre). (1).
Ensuite, il ne vous suffisait plus que d'appuyer sur le "starter" et de lever le curseur de la table de mixage et là, la chanson était diffusée.
Nous n'avions pas comme d'autre l'auto starter ce qui fait que votre calage effectuais de la simple levé du curseur votre disque démarrer tout seul.
Donc après une période de gestion générale tout le monde ou presque avait compris les bases essentielles du mixage.
Ensuite, un autre point important l'utilisation du micro.
Des choses basics, mais si importante, ne pas en parlent crachoter sur le micro (rire) même si celui-ci est pourvu d'une bonnette anti vent.
Ceci à fin d'éviter les postillonages (hygiène oblige) et autre mot avec des consonances telles que tous ses "che", "pe" et quelques autres.
Ne pas parce que l'ont à un casque sur les oreilles (s'il à une bonne acoustique) criée cela ne sert à rien le technicien réglera la puissance du micro depuis sa console.
Ne pas coller ses lèvres, mais laisser un bon écart entre la bouche et le micro.
Un truc tout simple, mémo technique même, vous placer à la verticale de votre bouche votre main sur le profil de celle-ci entre vos lèvres et le micro lui-même ce qui fait que 4 doigts sont alors nécessaires pour une bonne transmission du son de la voix vers ma membrane du micro.
Ensuite, trouver comment poser sa voix, ne pas trop hurler, ni ne trop chuchoter, mais avoir un débit de voix normale fluide et légèrement forcer en parlant quelques pars du ventre, voila je crois une bonne recette (ci des amis en ont une autre ou estime que mes descriptions sont pas valables alors à vos plumes, rire).
J'ai, pour ma pars quasiment fait tout, tout seul, sauf à une période d'une année, voir deux ou la j'ai eus un technicien amateur hors paires.
Oui, celui-ci avait compris l'essence même de ma vision et de mon travail radiophonique.
Nous étions alors devenus complice et amis, alors techniquement pour vous dire, je n'eus même plus à lui faire signe avec levé de doigt en sa direction pour lui faire signe d'envoyer tel ou tel disque tant il connaissait le ton de ma voix et sentez ainsi la fin d'une phrase.
Une fois, oui, une seule et unique fois dans ma vie j'ai connu cela, plus jamais je n'est revécue cela, alors merci, oui, milles mercis à toi l'ami Pascal G.
Je fus aussi le technicien de quelques autres émissions, j'ai dû en mixer quoi, une bonne dizaine par semaines.
Mes explications peuvent ici vous sembler naïves, mais tout a un début et voilà.
Quant à celles et ceux qui ont comme moi vécu tout cela se ne sera pas non plus s'en leurs rappeler de joyeux souvenirs, non ?
Chacun de nous avec plus ou moins de savoir et de faciliter y passât.
Nous nous sentions comme lors d'un examen légèrement (s'en l'avouer) fébrile voir hésitant, mais nous furent alors tous sur le même niveau à ce moment la.
(1) Voir lien internet ci-dessous pour avoir une idée.
Photographie : trouver sur internet.
Voici un lien internet photographique pour illustrer mon propos du calage de disque :
http://img3.musiciansfriend.com/dbase/pics/products/7/8/4/291784.jpg
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