Le monde des radios et mis à mal en ce moment.
En effet, des lois votées tard la nuit (1) nous
mettent sur le fait accompli et ne nous permettent pas de trouver une bonne riposte
et/ou de bons terrains d’ententes et/ou de discussions avec les dirigeants qui
créent s’est dites lois.
Cela a donc eu pour conséquences de créer une
vague de refus de suivre cette décision sur la révision des quotas venant de la
part des radios privées.
Car, oui, là où le bât blesse si je puis dire ses
que ses lois touches les radios privées émettent en FM (pour le moment).
Les radios de catégorie "A" ainsi que
les radios web elles ne seraient pas, m’a t’ont dit, toucher par cette décision.
J’aurais envie de dire et pourquoi en
serait-elle exempte ?
Mais cela semblerait être un autre débat.
Bref.
Alors pour certains, professionnelles ou pas de
se milieux de la radio, il s’agit de manipulations émanent des grandes majors
de la musique (2), mais aussi des organismes tels que le "SNEP" - la
"SACEM" - "L’ADAMI", etc.
Qui veut à tout prix que l’auditeur lambda (semble-t-on
croire du moins d’après mes lectures) quitte un temps les ondes des radios FM
pour notre cas pour aller donc sur des sites d’écoute gratuits en ligne ou l’auditeur
peut dans le même temps écouter et acheter son titre en version MP3.
Ses pourquoi quelques jours plus tard (3) un
comité de 150 radios privées, dont les plus connues sur le territoire se sont
liées et son monté aux créneaux pour contrer et demander la suppression de ses
nouveaux "Quotas"
Le besoin d’écouter la radio est-il ici remis en
cause ?
Où serait le péril ?
Sachant que pour ces radios-là les taux d’écoutes
sont plus qu’honorables, alors où est le risque pour elles ?
Car là où ça coince en fait ses sur cette
révision des "QUOTAS" de diffusions d’artistes français sur les ondes
des radios (FM privé).
En effet, celle-ci ont un quota de 40% de
diffusion dans leurs programmations générales journalières et la commission de
l’assemblé national à décider de la monter à 50%.
Il est vrai que sur les radios en réseaux et/ou
issue des grands groupes (Lagardère - Europe 1 - RTL et des radios n° 1
des jeunes) diffusent 10 titres d’artistes connues, reconnues chantent en
Français à l’heure actuelle.
Ainsi, oui, dans ses déjà 40% pourraient-ont se
demander alors où se trouve la place des artistes en devenir, plus communément
appeler "Jeunes talents" ?
Certaines radios disent avoir des créneaux spécifiques
pour ceux-là mêmes si pas diffuser aux heures de grandes écoutes (ce , ici, je
trouve et fort même regrettable, non ?).
Un jeune artiste d’expression française doit-il
se contenté des heures que nous pourrions dires "Creuse" pour se
faire entendre ?
Certains diront "Tant qu’ils sont entendus
n’est-ce pas là l’essentiel ?"
Moi, je ne trouve pas.
Après une question se posent-à-nous :
"Ne vaut-il pas mieux miser sur une écurie gagnante à coup sûr, car assuré
de succès que de miser sur écurie de talent de qualité, mais moins reconnue par
le plus grand nombre ?
D'ailleurs, des slogans naissent sur la toile,
sur les ondes au bout des bras des auditeurs de ses radios que celles-là ont
bien réussi à motiver pour les défendre.
Slogan auquel je ne peux qu’adhérer évidemment,
mais pas dans son entière définition vue de leurs prismes de radios privées.
Alors oui : "Pour que ma radio reste
libre de programmer la musique de son choix" là je suis d’accord comme
nous tous.
Puis celui-ci : "Les antennes ne
doivent pas faire de politique", là je suis moins d’accords.
Enfin, le plus illustratif je trouve est : "À
la radio, j’écoute ce que je veux" bien sûr j’adhère à l’idée, mais pas de
celle abondent vers les vues d’esprits des radios privées.
Ce dernier slogan scandé à la demande des radios
à leurs auditeurs pour faire montre de leurs mécontentements.
Je trouve cela dommage de prendre quelques parts
est parti les auditeurs de ces radios-là pour se servir d’eux comme fer de
lance contre cette décision en les fessant appeler les bureaux du ministre
concerner ou celui du premier ministre lui-même.Certaines radios vont même plus loin dans leurs
mécontentements.
Oui, elle demande à leurs animateurs de couper volontairement
un titre (Calogero - Stromae, etc.) pour lire un texte dicté par leurs
directions.
Certains donc s’offusquent, comme moi d’ailleurs,
qu’une direction prenne le droit de demander à un animateur de dires ceci ou
cela au nom qu’il est le patron et qui s’en doute, réprimanderais d’une manière
ou d’une autre ledit animateur s’il ne le fessait pas.
C’est là où je dis qu’il y a une différence
entre une radio humaine et une radio commerciale.
Pour moi, l’animateur anime et le directeur
dirige "MAIS" ne doit en aucun cas imposés ses dictats qui tenterais
la de faire montre de totalitarisme, vous ne croyez pas ?
Alors, entre des arguments radicaux comme ceux
cités ci-dessus et les autres il est bien évident la que les arguments des uns
des autres sont recevable d’une certaine manière et sont aussi libre d’une possible
contradiction des autres.
Et ses-là tous le complexe de la chose en effet.
Puis comme le dira un membre de l’assemblé
national, il se sent "Incapable de tranché" (4).
Les uns disent que si "Charles
Aznavour" débuter sa carrière aujourd’hui aurait-il le même soutient qu’il
a eu il y a près de 60ans ?
Ses ainsi que la ministre de la Culture "Fleur
Pellerin" (5) a décidé de soutenir les consortiums du disque et les
initiateurs de cette loi.
SUITE DE CETTE ARTICLE MERCREDI...
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